Nom : ________________________________________________________________ Date : _____________ Français 4H Thème : Les Défis Mondiaux Contexte : L’alimentation Texte : Extraits de « malbouffe » (AAD – pgs. 74 – 77) Vocabulaire Utile (alphabétisé) : Article 1 (pg. 74) : avoir la trouille : to be afraid Article 2 (pg. 75) : une barquette : a basket, a container un avertissement : a warning la bouffe : grub, food le bas de gamme : the bottom of the bourrer : to stuff range chez le primeur : at the produce cacher : to hide vendor’s un chiffre : a number une corvée : a chore cru : raw une courgette : a zucchini des crudités : raw vegetables élevé : raised (childhood to les denrées : food products adulthood) une désaffection : a loss of interest entreprendre : to set out to do faire la chasse : to hunt something un féculent : a starch le goût : the taste un fournisseur : a supplier l’intoxication alimentaire : food gérer : to manage poisoning la panure : breading malmener : to mistreat passer à la loup : to put under a la matière grasse : the fat content magnifying glass pané : breaded piocher : to dig râpé : grated, shredded un procès-‐verbal : an official le remplissage : the filling statement or report s’affranchir : to free oneself from la rupture : the break la saveur : the flavor la salmonelle : salmonella un travail de fond : a big job se gonfler : to swell les trentenaires : people in their 30s le staphylocoque : stapholococcus une fabrique à obèses : a fat factory la vache folle : mad cow disease un lieu de perdition : a den of vice veiller sur : to watch over Questions: 1. Que veut dire la phrase : « la barquette de carottes râpées vaut quatre fois le prix du kilo chez le primeur » ? a. Que les légumes qu’on emploie pour un garni sont moins nutritifs. b. Qu’il faut payer quelqu’un pour faire du râpé et cela est répercuté dans le prix. c. Les carottes râpées valent moins que les carottes entières. d. Que les aliments préparés sont moins nutritifs que ceux qu’on cuisine soi-‐même.
2. Que veut dire la journaliste quand elle parle des « leçons de choses » ? a. Les leçons de cuisine. b. Le déjeuner sur place dans la salle de classe. c. Les présentations par les enfants qui apportent des choses à montrer. d. Les présentations scolaires que l’on voit à l’écran. 3. Quelle est la thèse du premier article ? a. Que deux groupes de restauration scolaire dominent le marché. b. Que le goût de référence est devenu le goût industriel. c. Que les soixante-‐huitards ont enchaîné la société à la malbouffe. d. Qu’on a peu de chances d’apprécier le roquefort. 4. La phrase « métro-‐boulot-‐dodo » qui décrivait la routine appauvrissante du quotidien est illustrée par quelle phrase du texte ? a. On bourre son frigo d’aliments longue conservation sous cellophane et de plats tout prêts. b. On est incapable de transmettre de bonnes recettes à ses enfants. c. On a été élevé au fromage pasteurisé. d. Les restaurants…utilisent des produits semi-‐élaborés pour les sauces ou les desserts. 5. Quel est le but de l’article sur les cantines scolaires ? a. De critiquer les cantines scolaires et proposer qu’on apporte son propre déjeuner. b. De montrer la variété des menus des différentes cantines. c. D’exposer les dangers que courent les cantines lors de la préparation des aliments. d. D’informer sur le grand nombre d’intoxications alimentaires dans les cantines. 6. Un pourcentage élevé de parents… a. croient que les 5 francs sont excessifs. b. pensent qu’il est impossible de garantir la qualité des produits. c. sont prêts à payer pour que les enfants se nourrissent mieux. d. veulent supprimer la restauration scolaire. 7. Pourquoi n’annonce-‐t-‐on pas les résultats des inspections des cuisines et le taux des intoxications alimentaires ? a. Parce qu’on croit les parents incapables de comprendre les chiffres. b. Parce que selon Ségolène Royal la plupart des cas se situent dans les écoles primaires. c. Parce que l’Éducation nationale ne dispose d’aucun chiffre. d. Parce qu’il appartient aux municipalités de gérer le problème.
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On bourre son frigo d'aliments longue conservation sous cellophane. et de plats tout prêts. b. On est incapable de transmettre de bonnes recettes à ses enfants.