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L ' H O M M EE T L ' O U I I L

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(pes origines

cler

à Itaurore

On ne peut pas parler étroltement les différents

de Ithistoire)

humalnes sans y assodrindustries types drhommes qui les ont fondées.

que dès que l-thommestest détaché suf11'est incontestable naisfisamment du rameau des anthropoides et que son intelligence p r e m l e r outil avec fut sa main, celui qui en corrélation sa1t, son son eerveau fabri.qua tous les autres. Dès le début du quaternaire (pitnécantrope de Java, sinanthrope apparurent ]es pithécanthropid.és p e u t On dlre dteux avec certitude qutils furent les de Chlne etc...) premiers hommeè. Consldérons leur crâne nous remarquons conme rcârâcun front fuyant à cal-otte surbaissée pourvu tèr,es parbicullersr (torus cireumorbitalre) formant saill1e dfénormes arcades sourcilières des macholres robustes sans menton, avec des branches montantes très une denture très forte, larges, dont les molaires possèdent un clnquième eusplde en voie de régression ltarrière du crâne est en et enforme de chignon (loge des facultés visuelles et olfactives) vlron pOO cmJ de eapacibé cranienne. Dès La seeonde glaciation apparatt lrhomme de Néanderthal qul tlre son nom de la vallée du Neander (Affemagne) où ont été trouvés ses premiers resprès de Diisseldorf tes vers ]856. Depuis cette date d.rautres découvertes ont éLé faites en Europe, en Asie, ên Afrique, le plus souvent dans les aépôts des grottes. En France tes grottes de }a Chapel-le ai.ix Saints (Coruèze) de la Terrassie, du Moustier en Dordogne sont parmi les plus célèbres. Voyons maintenant les caractères de cette humanité; crâne toujours très fuyant, toujours de fobtes arcad.es sourell-ières formant visière, une denture également très forte, avee molalres encore à cinq cuspides et comme 1e pithécanthrôpe démarche en avant. Cependant il y a déjà évolution; en effet : plus grande eapacité crânienne : 14OO cmlt drautre part on enregistre une légère réduction du chignon.Beaucoup (absence de chainons interde savants pensent avec quelques raisons m é d i a i r e s ) q u e l - r h o m m ed e N é a n d e r t h a l , n ' a p u d o n n e r n a i s s a n c e à Ithomme actuel, cela,se peu!, mais il est également possible quti] y a1t eu mutation de lrun à ltautre. (à ttâge du renne) apparaît Dès Ie début du postglaciaire lrhomme actuel ou homosapiéns,-crest à dire hômmesage etlintêlligent qul se di-stingue nettement des autnes par son front él-evé et sa staparfalte. tlon verticale Quatre races le représente (Grimaldi, CroMagnon, Chancelade, races brachyeéphalés ou à tête ronde du Néolithique) dont Les industrles lithiques caractérlstiques sont les suj-vantes, Aurlgnacien, et }e Néolithique. Solutrien, Magdallnien,

No s a n cê tre s se ser vlr ent

sur tout

des silex,

du calcaire

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et des quartzites. Le silex fub évidemment Ia pierre idéale, parce pas partout en abondance, que }a plus dure mals il ne se rencontralt p o u r q u o i y avoir un troc très important de cette mail devait ctest ( O n a retrouvé en France des outils en silex noir dtEurope tlère.f.ontralo) et efest pourquoi aussi leS qgarfZiteS et aubres pierres â u m â r : r e u ed e s i l ' e x . suppléèrent (Oe nole, dieu des Deux rnots en passant sur 1féolisaiion q u e p o u r d.u avec le t'emps, Itaction dire vents de ta Grèce antique) q u t i l p a r f o i s m e t e n m o u v e m ent conjuguée avec l-e sable vent seul, ou nnlii- loq niÀçss. (Clest ainsi que l-es préhistoriens nommentles comrne-si el-les étalent recouvertes d?une ôutils de pierre taillée) sorte de vernis glacé, et pigmentées quand le sable les a frappées pendant des millénaires. v

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nomade. Il suit Lrhomme drHeidelberg est essentlellement Cfest pourquoi ses ossements sont dans ses déplacements les vallées. uniquement rencontrés dans lee alluvions fluviarares et ses outils était un énorme bloc de pierre de forme tiles, son arme principale grossièrement sur les deux facesrnomvaguement pyramidale et taillé mé coup de polng; nrétant pas emmanché, on le tenait à pleine main dtoù son nom. ^ \t -

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et se sraffine Toujours l-e coup cle poing mais celui-ci ncr"fcnf,Jonne ItoUhrier enlève un plus grand nombre dtéclat sur le pourtour de }a pièee, lui donnant ainsi un tranchant plus soigné, une forme beaucoup plus aplatie, dtor) leur nom de limande la forme y v t

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Le. Mo-ust1éJien

Ctest le début de la dernière glaciation. Lrhomne de Néanqutil- est od e r t h a l e s t m o i n s n o m a d . eq u e s o n p r é d é c e s s e u r , d u f a i t bligé de se réfugier dans les cavernes, cfesb 1à que lron trouve ses ossements et ses outlLs. Le coup de polng subsiste encore, mais apparaît lrindustrie dtécIats. des perL'homme fabrique des raclolrs, q u e p e a u x o f l q u t i l d e v l n e l t h o m m e s e v ê t d e n ê t e s , a bed e çoirs, soin de débarasser d.e leur chair et drassembler au moyen d.e bendons ou de fibres végétales. Certains racloirs ont même une forme incurvée pour permettre de gratt,er les os ( j'en ai trouvé plusleurs parmi des rellefs de repas). Ctest 1répoque de }a pointe trlangulaire cadu Moustérien. raetéristique

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^^^ ^-,rt^ .r r - ,' . r t l l } a g e encore a v é c l a^ v e n u e d e s h o m m e s s e *p^ e- r r, ^f ^et c- t i oi n^n- *e^ et de Cro-Magnon; toute une série droutlls de Grinaldi nouveaux font l-eur apparition, burlns, couteaux, pointes de f}èche scie, perçolrs etc... En outre apparaît Lrindustrie de lros

feuille

5 ) - Sollltréen Crest tlapogée de la pierre taillée, cayaetérisée par 1a eE la pointe à cran, certaines d de laurler, - -e ô ê q n i à n a <

"i""i-priioi"'

q " u q u e l q u e s -m i i t i m è c * * " - - â '; ; ; i ; ; ; ; ; .

6)-

!e Maedalénien Il voit le décl1n de la pierre ta.lllée lrhomme travaille lros et lf ivoire de plus en plus, ayant dtexcel-lents matériaux à leur disposition avec le bols de renne et Ll.ivoire de mammouth ( B a t o n s d . e c o m m a n d e m e n t- p r o p u l s e u r s - e t c . . . ) 7)-

le

Néotittrique

oir âge de Ia plerre

polie

D e rn l è re é ta p e e t re nouveau de Ia pier r e taillée. Le mamm o u t h e t l e r e n n e o n ! d i sp a ru . Cette der nièr e industr ie Ia plus cour te de toutes (elIe nta durée que elnq mille ans environ) est caract éris é e p a r Ia fa b ri ca ti o n d e magnifiques haches d.e pier r e po11e, percées ou non drun trou pgur y flxer Ie manche; lrhômme fatrique également toute une foule drobjebs utiles à ses activités. 11 ihvente la céramlque" et fabrique des tissus d.rétoffes grossières dans la vase des cités lacustres.

4,GEpEsJlErAqx La première des indusbries mélaIliques srétablit en Europe occidentale vers 2.!O0 als avant J.-C.- 0n supposeque les 1 l a p p o r t è r e n t a v e c e r , r xd r O r i e n t e t 1 t i m p o s è r e n t a u x p o p u l a t l o n s a u t o chtones. 11 est probable que Lron utitisa drabord 1rétain pur, à cause de sa fusion faeile, mâls lfétain est bien mou, puls on-imagina d e lt a ] l l e r a u cu i vre ce q u i d onna un br onze qui âétr ona à toui jap i e r r e talllée. mais Ia 0n a retrouvé des bracelets, des bagues,des colliers, d e s é p i n g l e s , d . e s h a c h e s d e c e t t e m a t i è r e , € t m ê m àd e s v a s e s q u 1 f i r e n t co n cu rre rrce a vec la cér am lque AGE DU FER C e tte i n d u stri e fu t appor bée par les Celtes qui envahi.r ent lrEurope vers lOO.ans avant J.-C.- Pendànt plusieurs siècles elle coexistera avec I'industrie du bronze. En conclusion, Ia main hunalne, créatrice.de toutes ces c hose F , d e p u i.s Ie p l u s fru ste c oup de poing chel- l- éen, à la plus dé l i cate bague, à la p1uç merveilleuse fibule de 1tépoque celtique, cont l n u e r a c o m m ee f l e l r a f a i t d a n s 1 e p a s s é , à s e r v i r t ' r r u m a n j t é , e t c o n t r i b u e r a a u fu r e t à me su re que Tr homm eévoluer a à fair e de lul u n m a j u s s a p i e n s o u su p e rma n . Alber t TISS0T

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Je suls une toute nouvel-Ie adepte à la spéIéologle, rirayant j. u s q u ' ti c. i ^. v i s i t é que des groLtes aménagées; ctest donc avec un vif

n'laicin lJr@rù!l

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que me proposait Aviation. avoir tf

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Ji t aacv nucun1 t: uÀa., .i l5s

Mr. DELSOLPrésident

ll -_a a ssoor trat ei e

Rr sr"otl.e p . *a)y

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du CIub de Spéléologie

de Sud

Nous soilrnes partls de Toulouse le matln vers 6 g. f/A. Après vu dlsparaître sans regret les cheminées des uslnes no,r'" pénédanS

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nous .ïiaiE3'X"t5'iriiffiii: sommes o"iii"'#iii:'à"ïâ;Ë;::"i3";l:"= n k r o { - o z 'r l a q ^ - o v i s i o n s dont nous avions grand besoln

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puisque

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comptalt une quinzaine de spéréologues et peut-être plus, .u qui a 'lformidabl_eï' puisque donné une ambiance que je qua+ifiral de Iton dit plus on est de fou plus lron rit. Je pourrais mêmedlre que M r . D E L , S O Le n a v a i t u n e g r a n d e p a r t . Puis nous sommes arrivés au but de cet agréable voyage cfest-à-dire une très accueir-rante maison de campagne, située au bord de 1a D. J reliant Cazères à saint-Girons; C I t ri l n o u s e s t p o s slble de dormir et de nous abriter en eâ.s de mauvals temps Là nous avons déballé nos affaires, nots rious sommes restaurés afin dravoir assez de force pour vaincre les mi]Ies et unedlfficulté d e l a g r o t t e p a p y ; p u l s n o u s n o u s s o m m e sh a b i l l é s . Je voulals y a}ler en short; le Président mrayant conseillé de mettre un pantalon, je .l-'écoutals mais en pensant que dans les autres grotbes les gens étaient en tenue de ville et nr-avalent aucunement besoin.de prendre des précautions pour leurs vêÈements. Heureusement je nrai pas fait ce dont jtavais lfintention, car malntenant.ie me rend compte dans quel état je serais revenue ,l Enf i t

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arbustes, pour pouvoir nous introdulre nous avons oû aenfâyer-1tentrée qui était très étrolte c r e s t G E N D Rq Eu i . p é n é t r a j _ t r e p r e m i e r d a n s l a f a i l l e eb bientôt je dûs me gtisser à mon tour oani r?incor.rrr; je me sentais é v? i d e m me n t u n p e u é mu e e t m es mouvem entsun peu gauône de déb utanbe ^

m'empêchaient de me,dégager de ce corset gtaiseC. Encouragée par tous les membres, jrarrlvals à vaincre le premier obstaclel api:ès un ramping de quatre ou cinq mètres je ne sals âu juste je me rendis compbe que mon pantalon bien que de forte toifé ne *é protégeait pas contre certains coups. A_partir de ce monient la galeriè pr"àO de la hauteur et je passals à travers de magnifiques stalagrites, j r e n a l b l e n s o u v è n t - c a s s é e t m ê m et a p f u s i m p o r t a n t e d e c e l l e s - c i . Les galeries qul se succédaient étaient ctéohiorretécs par moment nous rampions dans la boue.

Je me souviens aussi dtune échelle en bols que les spéléologues avaient consbrult avec des moyens de bord. Je me demandàis si elle étalt blen sollde, je descendis avec appréhension je me

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je le souviens aussi cltun puits aménagé dans les mêmes conditions que p e u r p o u r 1 a r é f l e x i o n s a p r è s m a i n t e s m a i s certes traversais j I éprouvais. ' oeuémerveilIée de trouver sous terre une-telle Jtétais vre de la nature ce qui mta beaucoup frappé crest la blancheur de eertaines stalagmites. Ce dont je me souviendrais toujours crest la d.escente du puits qui mène à 1à salle Esbet. Ce fut une descente rapide,.Itol mtavalf attachée une corde, mes mains seules étaient accroehées à la paroi tout à coup je lachais sans crier gare. Cela falt que ceux qul mtassuraient nreurent pas Ie temps de tenir fermement Ia corde et je fus arrêtée brusôt je descend.ls rapidement en tourblll-onnant de me déshabilquement à 20 cm.du sol. Cet arrêt eut pour résultat m o i t i é . ler à Avant la sal1e Estel une grande et profonde diaclase où il je ne mten sortis pas trop mal, faire de ltopposltlon; nous fallut aldée par de très almables amis. Puis, nous avons eontinué dans une galeriè où sl je nravais pas eu de bobtes jraurais été obllgée de qui en constlune petite rivière car c'était ialre de lropposition le fond. Je me souviens avoir descendu une sorte de toboggan, tualt un ma queue de cheval était puis nous avons rampés dans la glaise, des vêtements bien sûr, enfin nous arciâmas de boue, sans parler vlons au bout de cette équipéee nous avions laissé Mmes DELSOLet qutà cette derS A L V E T A Tà l a s a l l e n s t e t . J e n e 1 e s u s d r a i l l e u r s nière sa1le. qui est très basser câr je marchais en avant avec Mrs Nous MILLET et MARQUIS, les autres membres étant bien en arrière. pour nous détendre, nous sommes reposés quelques instantse Après cette halte nous nous sommesdirigés vers la sortie que;ravals surmonté sans trop de 1L me semblait que les d.iffcultés mal à 1ta}ler s?étaient accrues, je nten voyals plus lafin.Enfin jrarulvals poussée par 1es encouragements à lrair l-ibre. 11 était . i - t^ O n,l/ l

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t p O U V a J . S V f ârriumr rc-rnr u

n V 'rl qr rÈsr

Ji l é t a i s

fourbue.

Après un bon suuper je crus être remise malgré Ie sommeil qul me gagnait. Mais ce fut le lendemain que je sentis vraiment la mal; je ne pouvais plus c o r p s couvert de bleus,me faisait fatiguermon malgré les courbafures. humeur régna mouvement, mais la un bonne faire Le lendemaln; tous les spéIéologues mascul-ins rebournèrent et PUJOL mem-' à Mrs DBLTEIL, D1JRBAS à la grotte pour Ia falre visiter à ce camp spéléologique. invités bres du Spéléo-Club de I'Ariège l-es der-nous avons mangé puis fait Puls au retour des spéléotogues, pour Ie retour dans une joyeuse ambiance" nlers préparatifs cet endroli Maintenant ctest llheure du d.épart je regrette t aurais bien aimer y rester j p o u r u n b o n h e u r s i m p t e charmant fait quelques jours de pl.:us mais Ie }endemaln bon nombre devalent reprendre leurs oecupatlons de chaque jour. L o r s q u e n o u s s o m r a e sp a r t i s l a n u i t é t a l t d é j à t o m b é e . D a n s qui me ramenalt vers Toulouse je revoyais en imaginabion Ia voiture lroeuvre merveilleuse de la nature en la grotte Papy et je pensais que la spéléologie avalt conquis un nouveau membre. SOUQUIELucienne

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LA VIEiDE ,LA

.SOCTETE

N o tre ca ma ra de Pier r e CARAILvlent de se marier avec une charmante Parisienne. Nous souhaitons aux nouveaux époux bonheur et prospérité, êt, beaucoup de petits spéléologues.

T o u te s l -e s n o uvelles ne sont pas aussi agr éabies i N otr e e x c e l l e n t ca ma ra d e E l i e PAPY, celui qui pr écisém ent fut à 1a bas e de 1a magnifique découverte dont le frésènt numéro donne un aperçu, son servlce en ALgériè, a été grièvement blessé au et qui fàisaii g e n ô u . R e n tré à îo u l o u se par avion, il. est actuellem ent depui s deux L a rre y, où nous allons fr .équer nment} e voir . La gr am o i s à l rh ô p i ta l û 1 t é d e l a b l e ssu re e st cause que le tr altement ser a m alheur eus em ent i ô r r à . mo u s so u h a i to n s à notr e âmi } a guér ison ]a plus r aplde pogl fble et sommesconvAincus que nous le reverrons avec nous pour aller ttsatt grotte. revotr

ACTIYITE

tB et 19 Janvier 1958

G r o t t e P a p y à T o u rto u s ,,

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Janvier 1958

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2J eE 24 Février lPlB (Confection drun fi-Im) It

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9 et 10 M ar s 1958 Juin 1958 B et g 23- 24 et a5 Août 1958 ( C a m pS p é I é o l o g i q u e ) I2

G r o t t e de La Berthasse

à Bruniquel

Grotte de Rouze (arièee )

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Octobr e 1958 Septem br e 195 8 Octobre 1958

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D I UN FrLM gPHIr,HQ,"I.içgIQ,gF LA RBAI,T,SATTON A u so < u rs d e 1 ta n n é e L958, avec Ie concour s du Ciné Photogrotte club sud-Aviation, Ie spé]éo-Crtn a réal1sé un film dans la o c c a s l o nné a papy. Ce rir*-"iËnt-àtèirà sonorisé. Sa confection et dr accus Le tr anspor t de batter ies àiËià e i l "r . i *â ' i 'i ." rr" u u d e tra va l t. lnet var iées d a n s u n e gr otte alLx difflcultés ; ï ; ; i;; ; ; ï i s - - r r a g i re s p r l s e s de vues e}les-mêmes, nlont pas eu lieu sans l e s nomLrables, Si ce fil-m i a t i g u e s . M a l s n o u s S o m m e sh e u r e u x d e c e t t e r é a ] i s a t i o n . p as moins a oeuvre professionnell-e, il n'en i" ii"i-oiuné ;î;-;;; une r é e l t e v al e u r p o u r d e si mp les am ateur s. Nous r em er cions slncèr e môn t - l e c i n é - p h o to -cl u b su d -A v lation et par ticulièr ement nos anis. L AS SA L L Ee t DE D IB Usa n s q u i ce film nr aur ait pu êtr e faLt. Le film " Aù- t Àt S D ES cIE R GE SGB A N T S '' s er a pr ésenté à nos am is de Sud- Aviag i " u mb l é e Gé nér ale- du 25 Octobr e L9.58à lB Heur es t I J n- r p "a "*"r i r Ë qutun jour, 1t pourra être projeté publiquement. é s p é r o n s if. N"i" T , E C A M P S P E L E O L O G I S U ED E V A C A N C E S

P e n d a n t n o tre co n g é annuel un cam p Spéléologique fut or ga nisé à la grotte papy par I; SpéIéo-Club suO-aviation. Des Sociétés ipé]éologi{ues volsines et amlès avaient été invitées à vdnir admirà r n o t r è Èe l Ie g ro tte . P e n d a nt 1 jour s, une quinzaine de per sonnes par mi lesquels nous à n t a i n s l v é cu d à n s l a n a tu re . Nos vlsiteur s, p U J O L I t B n t e n t e S p é l é o logique Roussillonnald e d e relevons les noms Se l a I ' A r i è g e , D U R B Ad d e l a S p é l é o l o g i q u e Société de sê, SEVERAC e t J o s eph e t d e P r é h i s t o i r e " d e S p é } é o l o g i e Soâiéte Méridionale m énagèr ent h€ l' { ar in, St l a P1ér r e d é ^pas leu r O e ii n f i l t , r n d e s h é ro s p r é paration s a m a l g r é r é u s s i C a m p f é l i c i t a t i o n s , admlratlon et leurs plus longueautr e un en.pr épar er à i n cl te p e u r a p l d e , Qu i n o u s un un com pte r endu de ce , â " ï. L a b e p a ô n u id u Mi d i a p u blié dfallleur s â âmn

REUNIONS

N ou s ra p p e l o n s à n o s cam ar ades que les r éunions du SpéIé oC I u b S u d - A v i a t i o n s o n t h e b d o m a d a i r e se t o r i t l 1 e u t o u t e l r a n n é e a u : CAFE DES BAINS

Avenue dee Mlnimes

tous les Jeudis soir - à

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I}TIERTETIRS EXTRAITS DES REGLEMENTS ARTICLE ÏV Le S.C,S.A. a pour but La reçherche Scientlflque dans tous Pr éhlstolr e' , Géo l ogl e, l e s d.o ma i n e sd e l a S p éléologle, Hlstoir e, génér ale et souter r aine, r econnais s anc e et Bi o s p é o 1 o g 1 e , H yd ro l o g ie gouffr es et caver nes et tous l i eux gr obtes, e x p l ora tl o n s d a n s l e s q u 1 s e n a p p o rte n t, à cette r echer ehe Seientifique. ARTTCLEVIII L a r a d . i a t i o n o u l r e x c l u s l o n d r u n m e m b r ed u S . C . S . A . p o u r ra être prononcéê à la majorité des membres du bureau pour fautes t r a v e s su l va n te s : l / . - R e n se l g n e me n ts, p lans, études four nis à un autr e gr oupem ent, ou l 1 vré s a u p u b l i c sans aubor lsation' du bur eau. 2 / , - N o n re sp e ct d e l a diseipline pendant les sor ties et p ouv ant e n tn a în e r u n a cci denb. 1/.- Non respeet, des présents règlements lntérleurs. Sortles ou expéditions sans en avlser les membres du bureau. mi se d u ma tér ial au magasinier dans les délais pr év us à 5'/ , - N roanr re t i c le. XI. I 6/. - Tentative pour détourner à son pr ofi- t, les déôouver tes ou. étud e s a ya n t é té fa l tes. 4/.-

ARTICLE XI L e s é q u l p e s q u i u tlliser ont, du matér le1 devr ont r em ettr e eepropre et en bori étab dahs les f2 heures au maxlmumaprès lui-cl l t e x p é d .i tl o n . L e ma g a s inier char gé de Ia sur veil- l- ance et de Ltl nv ent a i r e ê n co n sta te ra l a r entr ée et son bon état "

ARTICLE XIT " " " d ta cci d e n t au eour s dr une sor tle ou expédltion; l es per T---B s o n n e s a cco mp a g n a n t 1 ? aceidenté devr ont, lui pr êter aide et as s i s banc e d a n s l a me su re d u possible et sous toutes les for m es pos s l bl es .La o o n - o b se rva tto n d e ce €te clause entr atne im r nédlatement, Lr ex c hi s l on .des membres qui ne voudraient pas sry eonf,ormer ARTICLE XIT] L a co tl sa ti o n e st flxée à fOO Fr ancs par tr im estr ç êt" pay abl e l e s 1 e r Ja n vl e r, Ie r Avr ll, l- er Jul1let eb ler Octobr e pour l e tr 1. mestre qul commence. Les membres conservenb Ia faculté de paJrer en pour Le sem estr e qui c om . 2 f o is l e s l e r Ja n vi e r et .le ler Julllet m e n ce , o u e n u n e se u l e fois dès Ie ler r Janvier pour ]r année enti èr e. I Tout adhérent amenant un nouve] adhérent, payant sa cotlsation et tenant sa earte de soclétéire, sera exonéré dtune mensualité, crestà-dire de lOO Francsr stll esd à jour de ses cotlsations. C OP IE S , 1 4 , Ar cades eu Capltole TOULOUSE, I m p r e s s l o n AR C A D E S Té1. C A T Z - 84