CONCLUSION PAR Antoine Monnet En conclusion je voudrais ... Donc on va vous tenir au courant via le site Internet et différents communiques de presse. Simplement aujourd’hui on se rend compte que dans le cadre du Grand Paris, le patrimoine industriel est complètement oublié, c'est à dire que dans l’aménagement aujourd'hui il n'existe pas. C'est pour cela que notre référé, que nous allons porter pour Gaupillat, on voudrait essayer d'obtenir une jurisprudence pour le patrimoine industriel. C'est-à-dire que, aujourd'hui, en droit Français, le patrimoine industriel n'existe pas, le patrimoine bâti existe, le patrimoine religieux, le patrimoine militaire, et le patrimoine des châteaux tout cela existe, le patrimoine industriel n'existe pas. Pour être en relation avec d'autres associations dans d'autres départements, que ça soit heu ... dans le heu..93, aaa...au Blanc Mesnil, que ca soit dans le heu… 91, que ca soit dans le 77, différentes associations commencent à avoir les mêmes problèmes que nous. Heu… Donc on a l'idée ... alors c'est difficile au niveau associatif, hein, on est pas des heu ... , on est des associatifs, on est pas des politiques, va essayer de se rassembler et de faire un collectif de toutes ces associations franciliennes de patrimoine industriel pour créer une force ensemble, pour être une force de proposition et d'alternative. heuu ... On va aller au référé, je ne sais pas, … on va gagner, … on va perdre, … on ne peut pas le savoir aujourd’hui, tout ce qu'on veut c'est se servir de Gaupillat pour servir ces ( inaudible), Gaupillat c'est bien nommé(?), comme amorce, pour avoir, commencer a essayer d'avoir l'embryon d'une juridiction pour le patrimoine industriel. Voilà je vous remercie tous. « Clap Clap Clap… »
Faux, en proportion il est aussi bien traité que le reste ! Faux, au plan juridique s'entends. Il dispose des mêmes protections que les autres
Il faudra un animateur pour cette force ...
Nous y voila, Gaupillat n'est qu'un prétexte pour un dessein plus grandiose.