Portfolio des articles publiés dans

de la

(Publication ayant cessé ses activités en juin 2014, plus de 40 000 lecteurs mensuellement)

1

TITRE DE L’ARTICLE : Wordpress : un outil web pour pouvoir entreprendre différemment ! Publié en septembre 2013 “La meilleure manière de prédire l’avenir, c’est de le créer” ~ Peter Drucker Bonjour à tous, que de fierté aujourd’hui de signer ici ma première chronique pour le Sans Papier ! Afin de me présenter, j’aimerais vous raconter en quelques lignes mon parcours professionnel. Tout a commencé en sortant du CEGEP (Petit Séminaire de Québec, à l’époque). En 1992, je voulais tant étudier en informatique, mais l’équipement requis était alors tout simplement hors de prix pour des raisons familiales et personnelles ! Je me suis donc tourné vers l’administration des affaires, ma deuxième passion, ce qui fut un excellent choix. Mais, en tant qu’autodidacte, l’informatique et le web sont depuis devenus une seconde nature, une passion (mon épouse dirait une passion envahissante, mais bon!).

Photo : Mes débuts en informatique sur un Commodore 64 (1986) De plus, j’ai toujours voulu travailler à mon compte. D’ailleurs, lors de mon premier parcours universitaire (baccalauréat en administration des affaires avec la spécialisation en gestion des ressources humaines), j’ai prolongé celui-ci en ajoutant une formation complémentaire en marketing et ce par pure passion. Déjà en 1997, j’étais convaincu que ces 2 spécialisations seraient un jour reliées. Ne parle-t-on pas actuellement de marketing e

RH et de marque employeur ? J’ai gagné mon pari n’est-ce pas ? À l’âge de 40 ans, une formation de 2 cycle de la TELUQ (programme court en affaires électroniques) terminée il y a quelques mois a été pour moi un élément déclencheur. Aujourd’hui, ces 2 aspects font parties de l’offre de services dans mes entreprises, MIRANDA Conseils (www.mirandaconseils.com) et Groupe Conseils DDE s.e.n.c. (www.groupedde.com), entre autre comme stratège en affaires électroniques et comme conseiller en ressources humaines. Aussi, selon l’AQIII (Association québécoise des informaticiennes et informaticiens indépendants, (www.aqiii.org), il y aurait environ 16 000 travailleurs autonomes en technologies de l’information au Québec et ces personnes constitueraient le dixième de la main-d’œuvre en TI dans la province (source : www.directioninformatique.com/le-portrait-des-travailleurs-

2

autonomes-en-ti-au-quebec-en-2012/15873). Comment pourrions-nous exercer notre métier, nous, les travailleurs

autonomes et les propriétaires de très petites entreprises (TPME), sans un essor si important des moyens technologiques maintenant à notre portée, en terme de facilité d’utilisation, d’accessibilité et bien souvent de gratuité. Dans ma pratique, je fais donc un plaidoyer pour les outils gratuits, et aussi pour les logiciels libres. J’aurai aussi le plaisir de vous en présenter quelque uns dans ma chronique mensuelle. Un aspect demeure essentiel aujourd’hui, soit d’avoir un site web adéquat et une présence en ligne, bien soutenue entre autre par les médias sociaux.

Photo : Wordpress, mon outil de prédilection pour la gestion de site web Voici donc mon outil de prédilection pour que vous puissiez créer votre site web simplement (sans programmation) et de manière efficace: Wordpress ! Lancé en 2003, il s’agit de la plateforme électronique derrière plus de 69 millions de sites internet dans le monde (www.en.wordpress.com/stats/), soit approximativement 19% de tous les sites internet existants (www.whodunit.fr/wordpress-statistiques-2013/) Et non… Cette plateforme ne sert pas qu’à créer des blogues (note: bloguer dans une perspective de développement des affaires sera le sujet d’une prochaine chronique). Il s’agit d’un CMS (Content Management System, ou système de gestion de contenu de votre site web) très complet. C’est d’ailleurs le CMS de choix (59% des sites utilisant un CMS utilisent Wordpress (www.whodunit.fr/wordpress-statistiques-2013/), contre 10% pour Joomla et 6% pour Drupal). Il s’agit d’un outil polyvalent, permettant de nombreuses possibilités d’ajouts de modules d'extension (appelés aussi des plugins; près de 26 000 sont disponibles). Son secret, il s’agit d’une plateforme ouverte et libre (open source), ce qui a certainement aidé à augmenter sa popularité. J’aurai aussi prochainement l’occasion de vous faire découvrir cet univers et un de ses maitres à penser, soit Monsieur Richard Stallman). Cependant, avant de vous y mettre, il faut un plan (ce qui est étrangement négligé, car nous sommes emballés par notre projet et ne prenons pas toujours le temps de planifier !). Je vous suggère de suivre les conseils tirés de l’article suivant : Six éléments à considérer avant de créer un site web (http://goo.gl/8ygoq2). C’est seulement après avoir médité et répondu aux questions suivantes que vous pourrez vous mettre à l’œuvre :      

Quels renseignements est-il important de transmettre en ligne à vos clients, et de quelle façon? Comment concevoir votre site de façon à ce que les clients trouvent facilement les renseignements désirés? Comment les clients accèderont-ils à votre site Web? Quels sont les objectifs liés à la création de votre site Web et comment voir si vous les avez atteints? Quelle sera l’adresse URL de votre entreprise? Avez-vous le temps et l’expertise nécessaires pour créer vous-même votre site Web?

3

Vous avez toujours envie de vous lancer ? Je vous suggère l’excellent tutoriel publié sur Tom’s Guide (disponible ici : www.tomsguide.fr/article/blog-wordpress-tuto,2-88.html). Vous y arriverez, c’est plus simple que cela peut en avoir l’air. Si vous utilisées des photos, pensez à utiliser des banques d’images libres de droit et gratuites (ce n’est pas la même chose!), comme par exemple www.protectionoeuvre.com/20-sites-dimages-libres-de-droit/), ou bien n’hésitez pas à faire affaires avec un graphiste/photographe professionnel. Ce n’est pas nécessairement si dispendieux et cela ajoutera une touche magique à votre image de marque. Rappelez-vous que, même en ligne, nous n’avons pas deux fois l’occasion de faire une excellente première impression! N’oubliez pas… L’entrepreneur n’a jamais eu autant d’outils en ligne à sa portée pour entreprendre différemment ! Bonne découverte ! Éric Lamirande Consultant et formateur Groupe Conseils DDE s.e.n.c. www.groupedde.com [email protected]

TITRE DE L’ARTICLE: Le Chromebook de Google, fenêtre sur le web Publié en octobre 2013 Partir prendre un café et revenir avec un Chromebook de Google, c’est ce qui m’est arrivé le 13 août dernier. Outre le fait que mon épouse était consternée par l’achat d’un ordinateur de plus (j’en ai déjà 4 à la maison, en plus des appareils Nexus 4 et Nexus 7 d’Android), je dois dire que cet achat devenait pour moi, en tant qu’entrepreneur, un incontournable et quoi qu’on en pense, ce n’était pas un achat d’impulsion ! Je dois maintenant me l’avouer, j’ai développé une véritable affection pour les outils proposés par Google, qui est en tout point comparable au sentiment d’appartenance qui caractérise les utilisateurs de la gamme de produits d’Apple. Cela se nomme précisément, en marketing, l’état de flux (voir à cette fin l’excellent article publié sur le Journal du Net: L’état de flux, l’indicateur d’expérience utilisateur optimal des sites e-commerce: http://goo.gl/cVYUVR) En tant

4

qu’entrepreneur, c’est ce que je souhaite que mes clients atteignent, tout en travaillant de manière juste et équitable à répondre à leurs besoins.

Tout cela pour dire que j’adore mon Chromebook (je possède celui fabriqué par Samsung). Plusieurs modèles sont disponibles, et offert par des fabricants reconnus outre Samsung, soit Acer, HP et bientôt Toshiba et Asus (voir http://goo.gl/jqd7sO et http://goo.gl/Wrc65z). Pour résumer ce à quoi consiste l’appareil, il s’agit d’une fenêtre sur le web, rien de plus et rien de moins! Le miens possède d’ailleurs un minime disque dur SSD (16 go.), mais pour moi, ce n’est surtout pas une contrainte car, pour vraiment apprécier l’utilité de ce type d’appareil, il faut déjà reconnaître la valeur immense (et en croissance) de l’infonuagique (informatique en nuage ou appelé en anglais le cloud computing, http://fr.wikipedia.org/wiki/Cloud_computing). Le contenu de l’appareil, en terme logiciel, se limite au départ à Chrome OS, c’est à dire que le navigateur Chrome, que vous connaissez probablement, agit comme système d’exploitation. Celui-ci est dérivé du projet Chromium (un projet open source, un logiciel libre, http://www.chromium.org/). Le premier avantage: lorsque l’ordinateur est fermé (et non simplement en veille), on peut est d’être sur le web en moins de 6 secondes. Les mises à jour se font automatiquement, sans qu’on ait à s’en occuper et on parle aussi de l’absence de virus, rien de moins !

Les autres caractéristiques techniques qui sont vraiment appréciées: un écran de 11,6 pouces (1 366 x 768), l’épaisseur de 1,77 cm et le poids de 1,1 kg. Un autre avantage non négligeable: jusqu'à six heures et demie d'autonomie pour la batterie. Est-ce qu’un tel appareil va vraiment trouver preneur, me direz-vous? Comme on le dit ici dans cet article de La Presse (http://goo.gl/Wrc65z), les Chromebook représentent 20 à 25 % du marché des ordinateurs portables de moins de 300 $ aux États-Unis, devenant ainsi la catégorie de PC au taux de progression le plus fort. Vendu à 270$ pour des caractéristiques techniques appréciables (voir http://goo.gl/A4p7Qu), j’y vois, à mon humble avis, un ordinateur portable qui offre un excellent rapport qualité-prix. Parfaitement intégré aux outils que

propose

Google,

on

a

qu’à

penser

à

Google

Drive

(http://goo.gl/qboKFf),

Google

Docs

5

(www.docs.google.com/, avec lequel j’écris d'ailleurs cette chronique), Gmail (www.gmail.com) et bien entendu

Google + (https://plus.google.com/?hl=fr, la couche sociale qui intègre tous les services de Google... Il offre donc des outils comparables à tout ce qui existe déjà sur le marché et qui est très souvent payant (si on parle par exemple de la suite Office). Mais il ne se limite pas qu’aux outils proposés directement par Google et donne aussi accès à une multitude d’application (en ligne et hors ligne) en fouillant dans le Chrome Web Store (https://chrome.google.com/webstore), en passant des applications bureautiques, aux jeux en ligne, incluant de nombreuses applications offertes aussi pour être utilisées hors ligne… En conclusion, pourquoi donc avoir acheté cet appareil, dont certains pourraient dire qu’il limite mes possibilités au web? C’est que, en tant qu’entrepreneur dans le domaine des affaires électroniques, je souhaitais ainsi me permettre d’approfondir mes connaissances et mes expériences directes avec les outils proposés par l’infonuagique et surtout la gammes des outils proposés par Google. Je serai donc à même de partager, avec ma clientèle, mes réussites et mes déceptions et ainsi mieux saisir comment elle se sent devant un tel défi. L’expérience de flux dont je vous parlais au début, je la vie moi-même et je souhaite aussi la faire vivre à ceux qui constituent ma raison d’être en affaires : mes clients !

On ne sait que ce que l'on pratique" –MONTESQUIEU Éric Lamirande Consultant et formateur Groupe Conseils DDE s.e.n.c. www.groupedde.com [email protected]

TITRE DE L’ARTICLE: Avant de vous lancer sur les médias sociaux: matière à réflexion ! Publié en novembre 2013

« Que la stratégie soit belle est un fait, mais n’oubliez pas de regarder le résultat. » de Winston Churchill Bonjour, ma chronique ce mois-ci fait référence à une demande courante de plusieurs de mes clients. On me contacte d’urgence en me disant qu’on veut être présent sur les médias sociaux ou bien qu’on veut optimiser une présence actuelle. Bien souvent, le client a déjà quelques notions de base de marketing, il a peut-être déjà mis beaucoup de temps à essayer de faire de son mieux, mais, malheureusement, sans récolter les bénéfices

6

escomptés. On m’appelle ainsi à la rescousse... Ça presse !!! Ce que je remarque, (et c’est aussi parfois mon cas,

en tant qu’entrepreneur), c’est qu’on est parfois tellement emballé pour notre nouveau concept, notre idée géniale, qu’on a envie de crier notre fierté sous tous les toits et ce très rapidement. Le client demande donc, dans ces cas typiques, d’agir vite et bien entendu au moindre coût possible. Avant de vous lancer sur les médias sociaux, de faire des choix stratégiques importants et lourds de conséquences et d’identifier les médias sociaux qui sont les mieux adaptés pour faire la promotion de votre produit, d’un service ou même pour faire votre auto-promotion, une réflexion en profondeur s’impose! Et vous aurez probablement besoin d’aide. Par chance, des consultants spécialisés en la matière, tout comme moi, sont là pour vous aider, vous éclairer, vous rendre autonome ou bien vous supporter dans le cadre d’une entente de sous-traitance. Voici quelques éléments sur lesquels je dois vous aider à réfléchir, en tant que consultant, dans une telle situation. Comme vous le monter la figure suivante, ne soyez pas gênés de demande de l’aide car les médias sociaux représentent tout un univers ! La première étape que je vous propose est de valider en profondeur les aspects suivants et qui sont obligatoires pour envisager la suite efficace et efficiente du dossier. À l'essentiel, voici donc 6 points à éclaircir et à documenter avant de pondre une stratégie correspondant à vos besoins réels et qui sera aussi évolutive: 1. Vos objectifs et stratégies: Qu'espérez-vous faire sur les réseaux sociaux? Lancement d'une campagne, la promotion de votre expertise, communiquer avec votre clientèle? Assurer les communications internes? Avez-vous pris le temps de définir vos objectifs stratégiques? 2. La compétition: Que font vos compétiteurs sur les médias sociaux? Le savez-vous réellement? Quels sont leurs succès et leurs échecs? 3. Les personnes responsables: Qui aura la responsabilité de diffuser le contenu? Qui assurera l'entretien et la surveillance de votre présence en ligne? Ces individus ont-ils des compétences adéquates et du temps à y consacrer? 4. Définir et mesurer vos succès: Qu'espérez-vous gagner en étant sur les médias sociaux? Comment saurezvous quand vous l'avez obtenu? Voulez-vous augmenter le trafic vers votre site Web? Souhaitez-vous rejoindre des candidats potentiels? Quels sont les outils dont vous avez besoin pour mesurer vos campagnes en ligne? 5. Engagement et conversation: Dans les médias sociaux, devez-vous vous distinguer de vos compétiteurs? Comment allez-vous engager la conversation avec votre public? Avant de parler, il faut écouter! Qu'est-ce que les gens disent de vous? Qui en parle? À propos de quoi? Et où? 6. Contenu: Quel sera le contenu que vous partagerez? Textes? Images? Vidéos? Des promotions? Allez-vous solliciter la création de contenu de la part de vos abonnés? Comment allez-vous favoriser leur loyauté? Avez-vous besoin de créer du nouveau contenu. Il ne serait pas avisé de mettre sur pieds un plan de communication sur le web sans faire cette analyse préliminaire. Y aller trop rapidement, sans réelle stratégie, représenterait, à mes yeux en tant que consultant, une erreur stratégique et je ne peux certainement pas recommander de faire autrement. Remarquez que je n’ai pas

7

mentionné encore le budget car le client doit comprendre que ses demandes ont un coût, mais qu’il est aussi

possible de s’en sortir en cherchant à devenir le plus autonome possible et en devenant autodidacte sur plusieurs aspects. Le consultant pourra alors offrir des services de coaching, par exemple dans le cadre d’une banque d’heures. Cependant, ne faites pas l’erreur de ne pas avoir un budget dédié à la création et au déploiement de votre plan marketing et, dans le cadre de celui-ci, une rubrique spécifique consacrée au web et aux médias sociaux. Je vous recommande, en complément la lecture de ce guide de la BDC (Banque de développement du Canada),

intitulé

Comment

créer

une

stratégie

de

médias

sociaux,

disponible

ici:

http://www.bdc.ca/fr/centre_conseils/augmenter_vos_ventes/ventes_et_marketing/Pages/RelatedArticles.aspx?PA TH=/FR/centre_conseils/articles/Pages/creer_strategie_medias_sociaux.aspx En espérant que cela vous a éclairé en vous donnant l'heure juste.

Au plaisir d’échanger avec vous. Salutations ! Éric Lamirande Consultant et formateur Groupe Conseils DDE s.e.n.c. www.groupedde.com [email protected]

TITRE DE L’ARTICLE: Chrome OS: le nuage informatique sur lequel on ne peut pas (toujours) s’asseoir !

Publié en novembre 2013 « L'informatique, ça fait gagner beaucoup de temps... à condition d'en avoir beaucoup devant soi! » de Mireille Sitbon

Ça y est ! Je dois maintenant me l’avouer, j’ai développé une véritable affection pour les outils proposés par Google. Je vous ai déjà parlé, dans ma seconde chronique, du sentiment d’appartenance pour les outils infonuagiques que la firme nous propose. Dans mon cas, cela est devenu, je le crois, en tout point comparable au sentiment d’appartenance qui caractérise les utilisateurs de la gamme de produits d’Apple et ce pour les mêmes raisons, à mon humble avis et selon mes préférences personnelles. Je vous mentionnais aussi qu’en marketing, cela s’appelle précisément l’état de flux (voir: http://goo.gl/cVYUVR).

8

Tranche de vie maintenant: j’ai brisé mon Chromebook Samsung pour une raison obscure… Non! En vérité je l’ai échappé et il s’est cassé! Mon erreur... Qu’à cela ne tienne, j’en ai un autre maintenant… Le modèle Acer C7 (http://goo.gl/Ct5tZT) est mon nouveau jouet… Je l’apprécie énormément, même si sa pile dure moins longtemps, il est plus robuste et correspond davantage à mes besoins en ce sens. Rappelons que les appareils Chromebook fonctionnent avec le système d’exploitation Chrome OS, lui-même lié indirectement au projet Chromium OS (open source, http://fr.wikipedia.org/wiki/Chromium_OS).

Le but de ma chronique d’aujourd’hui est de vous faire connaître le potentiel immense des outils infonuagiques proposés par Google (et par d’autres sources telles Prezi ou Zoho) et de vous démontrer que ceux-ci permettent de créer un environnement de travail en grande partie équivalent, en termes de qualité et de disponibilité, aux logiciels proposés par les solutions offertes par Microsoft, Apple ou autres. Je dis en partie car, dans mon cas, je pourrais me satisfaire de ces outils alternatifs. Cependant, le défi est de convaincre la majorité des gens qui sont dans mon milieu de travail d’adopter le même environnement informatique. Et c’est un enjeu qui n’a pas seulement à voir avec les qualités techniques des outils mais qui est profondément lié à des choix corporatifs et souvent aussi plutôt personnel. Des préférences et des perceptions, c’est plutôt difficile à changer, je le comprends car c’est aussi mon cas. Ce qui nous unis cependant, le web et l’utilisation du navigateur Chrome et donc une utilisation de plus en plus grande de certains outils infonuagiques.

Prenons le cas de Google Drive, un outil parfaitement synchronisé entre nous, les utilisateurs, auquel j’accède avec Chrome OS, qui offre immédiatement plus d’espace de stockage gratuite que Dropbox (qui est pourtant, autour de ma clientèle directe, plus populaire)… Voir à ce titre plusieurs analyses comparatives, que vous retrouverez

en

recherchant

sur

le

sujet

(par

exemple

ici

http://blog.neocamino.com/3-criteres-de-compaison-dropbox-vs-google-drive/

http://goo.gl/6RVr5y

ou

bien

ici

9

et

http://socialcompare.com/fr/comparison/cloud-file-sharing-solutions-comparative). Quant à Google Docs, que

j’utilise de plus en plus comme logiciel de traitement de texte dans mes travaux quotidiens, il comporte des fonctions de base et avancées, dans un environnement graphique minimaliste par rapport à Office 2012, mais qui me permet de faire tout ce dont j’ai besoin dans une journée type (créer des documents, produire des rapports, créer des tableaux, inclure des références et des notes de bas de page). Bref, dans mon cas, je pourrais ne fonctionner qu’avec cet outil (utilisable en ligne et hors ligne). Le principal problème vient du fait que lorsque j’importe un document créé avec Word 2010, la compatibilité n’est pas parfaite; il est important de le dire! Cependant, au contraire, quand j’exporte un document créé avec Google Docs vers Word 2010, la compatibilité est, en règle générale, excellente! On retrouve donc, dans Google Docs, des outils pour créer des documents et textes divers (comparé à Word), un chiffrier puissant (comparé à Excel), un outil de création de présentations (comparé à Powerpoint), un outil de création de sondages (meilleur que Survey Monkey), un outil de création de schéma et de dessins puissant. Bref, une gamme de services gratuits qui s’avère très impressionnante! L’endroit à visiter

pour

découvrir

ce

véritable

coffre

aux

trésors

infonuagiques

est

le

Chrome

Web

Store

(https://chrome.google.com/webstore/category/apps). Et effectivement, vous verrez que vous pourrez par exemple transformer votre PC en Chromebook (oui! oui! c’est facile et cela pourra vous convaincre de la puissance des outils proposés); il s’agit d’une couche qui s’ajoute èa votre système d’exploitation. Pour ce faire, je vous suggère d’utiliser le navigateur Chrome (http://goo.gl/SbrRJJ) et d’utiliser le nouveau lanceur d’application que vous pourrez personnaliser (http://goo.gl/cneXwK). Depuis peu, de nombreux outils proposés sont aussi disponibles pour votre ordinateur, à partir du navigateur Chrome et parfois même (de plus en plus) en mode hors connexion. Pour mes présentations publiques, j’utilise la version web de Prezi (www.prezi.com/); le fait d’acheter la version payante permet notamment de garder ses présentations en mode privé. Pour éditer mes PDF et y rajouter des commentaires, des annotations, souligner des sections, bref faire certains traitements utiles dans l’analyse du contenu, j’utilise l’application PDFescape (http://www.pdfescape.com/account/). Pour faire des captures d’écran, j’ai choisi Clipular (www.clipular.com). Si la suite Google Docs ne vous convient pas, je vous recommande les nombreux outils complémentaires, que j’utilise aussi beaucoup, mis en ligne par Zoho (http://www.zoho.com/). Vous le voyez, la liste des outils en ligne, disponibles sur le web, est longue est bien remplie. Comme je vous le disais, mon propos n’est surtout pas de vous convaincre qu’ils sont meilleurs et plus performants que ceux que vous connaissez, chers utilisateurs des environnements Windows et Linux (j’en suis aussi !) et Apple... Mon but est de vous montrer que l’informatique infonuagique est maintenant rendue très performante et qu’on peut trouver, parfois en fouillant un peu, des outils simples, gratuits pour la plupart et, sommes toutes, répondant très bien aux besoins de base ou avancés. Et tout cela est accessible directement sur le web (sur le fameux nuage informatique comme on l’appelle), parfois à partir de votre navigateur Chrome, dans l’environnement Chrome OS sur un Chromebook ou sur votre appareil de prédilection roulant sur Windows, Mac ou sur une distribution Linux. Quand à mon Chromebook, un portable performant pour le prix, environ 250$, je l’adore pour les raison évoquées précédemment. Ce n’est pas encore mon principal appareil, mais d’ici quelques mois ce le sera, même si, comme pour tout nouvel environnement informatique, la patience est de mise. Au plaisir d’échanger avec vous. Salutations !

10

Éric Lamirande Consultant et formateur Groupe Conseils DDE s.e.n.c. www.groupedde.com [email protected]

TITRE DE L’ARTICLE: Comment Richard Stallman a changé nos vies...

Publié en janvier 2014 Connaissez-vous Monsieur Richard Stallman? Certains le nomment l’idéateur du concept du logiciel libre (free software). Certains diront que c’est un puriste, un idéaliste, un utopiste… J’ai d’ailleurs l’occasion de le rencontrer à Québec en 2010, lors d’un congrès sur le logiciel libre. ‘Happy hacking !’ m’avait-il écrit en dédicace dans sa biographie. ll reste que l’utilisation des logiciels libres est bien loin d’être une mode, mais est devenu une véritable tendance de fonds, une vague, qui pourra difficilement s’atténuer avec les années. Aussi, tel que cité sur le site Internet de Direction Informatique (http://www.directioninformatique.com/linexorable-elan-du-logiciel-libre/11834), dans le cadre d’une étude menée par Gartner auprès de 547 dirigeants TI dans 11 pays (en août 2011), plus de la moitié des répondants disaient avoir adopté le logiciel libre, alors que 21 % d’entre eux étaient à l’évaluer. On prévoyait alors que d’ici 18 mois, 30 % des logiciels utilisés dans les entreprises seront libres. Cette forte popularité est d’autant plus impressionnante que les organisations se montraient très prudentes par rapport à ce type de logiciels, il y a quelques années encore. Même le gouvernement du Québec, au-delà du principe qui semble faire de

plus

en

plus

consensus,

a

mal

à

en

favoriser

l’adoption

(http://www.lapresse.ca/le-

soleil/affaires/techno/201303/18/01-4632258-le-conseil-du-tresor-veut-forcer-lutilisation-du-logiciel-libre.php). "Si vous utilisez des recettes de cuisine, vous avez probablement fait l'expérience de recevoir la copie d'une recette de la part d'un ami qui la partage avec vous. Et vous avez sans doute fait également l'expérience - à moins d'être un néophyte complet - de changer cette recette. Cette modification, vous la transmettez à d'autres en faisant des copies. Un programme d'ordinateur est comme une recette de cuisine". Extrait d'un discours tenu à l'Université de New-York en 2001 par Richard Stallman

11

Monsieur Richard Stallman, idéateur du concept des logiciels libres, a trouvé sa première impulsion au début des années 1980 parce que l’imprimante Xerox de son laboratoire informatique s’est mise à avoir des problèmes qu’il voulait pouvoir régler lui-même. Il est alors surpris et même en colère de voir que le code source du logiciel faisant tourner la machine était finalement inaccessible et que personne ne voulait le lui fournir. Il comprend alors qu’il faut agir. C'est ce qui explique en partie son impulsion à lancer son projet GNU (http://www.gnu.org/). Sans la contribution de gens comme Richard Stallman, les logiciels libres seraient-ils si en vogue aujourd’hui. Il est vrai que si on regarde la part de marché des systèmes basés sur un noyau Linux, en comparaison avec les autres systèmes

d’exploitation,

on

pourrait

penser

que

les

logiciels

libres

ne

sont

pas

si

populaires

(http://www.netmarketshare.com/operating-system-market-share.aspx?qprid=10&qpcustomd=0). Mais c’est qu’il faut aller au-delà des chiffres, et penser que les logiciels libres sont aussi disponibles sur les plateformes PC et Mac, par exemple sur le site Framasoft (http://www.framasoft.net). Il faut aussi, comme le dit souvent monsieur Stallman, distinguer les gratuiciels des logiciels libres (dans le sens que le code est ouvert et que les logiciels libres ne sont pas nécessairement gratuits).

Quand on dit qu'un logiciel est libre [...] pensez à la liberté d'expression, et non à « entrée libre »/et non à une « bière gratuite ». Richard Stallman Richard Stallman est donc à l’origine du projet GNU et de la licence publique générale GNU connue aussi sous l’acronyme GPL, qu’il a rédigée avec l’avocat Eben Moglen. Il a popularisé le terme anglais “copyleft”. Le copyleft est l'autorisation donnée par l'auteur d'un travail soumis au droit d'auteur (œuvre d'art, texte, programme informatique ou autre) d'utiliser, d'étudier, de modifier et de diffuser son œuvre, dans la mesure où cette autorisation reste préservée. Comme on l’explique, l'auteur de l’oeuvre/logiciel refuse donc que son travail puisse évoluer avec une restriction du droit à la copie. Ainsi, en contrepartie, le contributeur apportant une modification (correction, ajout, réutilisation, etc.) est contraint de redistribuer ses propres contributions avec les mêmes conditions d'utilisation que l'original. (Wikipedia: http://fr.wikipedia.org/wiki/Copyleft). L’application concrète se fait à travers

les

quatre

libertés

du

logiciel

19octobre2011/a-free-digital-society#4freedoms).

libre

(http://www.libertesnumeriques.net/evenements/stallman-

12

● ●

La liberté 0 est la liberté de faire tourner le programme comme vous le souhaitez. La liberté 1 est la liberté d’étudier le code source et de le changer, pour que le programme fasse vos calculs comme vous le souhaitez.



La liberté 2 est la liberté d’aider les autres. C’est la liberté de faire des copies exactes et de les redistribuer quand vous le souhaitez.



La liberté 3 est la liberté d’apporter votre contribution à votre communauté. C’est la liberté de faire des copies de votre version modifiée, si vous en avez fait une, et ensuite de les redistribuer à d’autres quand vous le souhaitez.

Le projet GNU (http://www.gnu.org/) C’est au mois de septembre 1983 que Richard Stallman annonce le développement d’un système d’exploitation libre qu’il nomme GNU, et qui a pour but d’être un équivalent libre d’Unix. La naissance du noyau Linux en 1991 permet, en le combinant aux outils GNU, de former le système d’exploitation GNU/Linux. Cette appellation est importante pour Richard Stallman car elle permet entre autres que ne soit pas occulté le but du projet GNU : permettre l’utilisation d’un système entièrement libre et garantir les libertés fondamentales de manière générale. (source : Wikipedia http://fr.wikipedia.org/wiki/Richard_Stallman). Notons en terminant que la biographie, en format PDF, et distribué gratuitement et librement est disponible ici: http://www.framabook.org/docs/stallman/framabook6_stallman_v1_gnu-fdl.pdf Bonne lecture ! Au plaisir d’échanger avec vous. Éric Lamirande Consultant et formateur Groupe Conseils DDE s.e.n.c. www.groupedde.com

13

TITRE DE L’ARTICLE: Microsoft a peur de Google, s’en prends au Chromebook et nous prend (presque tous) en otage ! Publié en janvier 2014

Tranche de vie, je vous écris cette chronique en utilisant Google Docs, l’application de traitement de texte que nous propose Google dans son écosystème. Pour un texte comprenant une mise en page courante (avec table des matières, notes de bas de page, avec quelques images, tableaux etc), tout est très bien. Oui, l’ergonomie est simplifiée, mais vous y retrouverez de multiples fonctions très agréables, qui en font une alternative intéressante pour les usages habituels. Je vous en ai déjà parlé, j’adore ces outils proposés par Google (que vous retrouverez ici: http://www.google.com/intl/fr/drive/about.html). Je possède un PC (Windows 7 et Windows 8.1 en dual-boot) et, comme vous le savez si vous avez lu mes dernières chroniques, je possède aussi un Chromebook (Acer 710 payé 200$), qui intégrer facilement tous les outils proposés par Google. Mais voilà que, si vous avez suivi l’actualité informatique des derniers mois, Microsoft a choisi, comme pratique d’affaire à mon avis fort discutable (je le dis en tant qu’entrepreneur), de dénigrer la compétition et de s’attaquer à Google et spécifiquement au Chromebook (voir http://windows.microsoft.com/en-us/windows-8/compare-chromebook

et

http://www.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-microsoft-demolit-le-chromebook-dans-une-pub-55828.html). C’est que, notamment aux États-Unis, les ventes des produits Chromebook ont explosé, semble-t-il, depuis le début des ventes de ce produit en 2012 pour atteindre plus de 20% du marché des PC aux États-Unis », selon une étude publiée par le cabinet NPD (http://goo.gl/Lu8p2I).

14

Vous savez que j’adore l’informatique en nuage et que je privilégie lorsque possible les logiciels libres et ouverts. Je m’attends à ce que je puisse profiter du nuage informatique pour trouver des applications et/ou sites internet me permettant de répondre à mes besoins technologiques. Dans l’ensemble, mon expérience est très intéressante et concluante si bien que dans une perspective d’utilisation quotidienne, je réussis environ dans 75% des cas à trouver des applications sur le fameux nuage (dans l’environnement de Google ChromeOS ou ailleurs sur le web). Cependant, et c’est là que vous comprendrez le lien avec ma (longue) introduction, Microsoft, dans sa grande peur, chercher à prendre ses clients en otage. Oui ! Oui ! Comment fait-il ? Entre autre en passant par la suite Office (Word, Excel entres autres), que la majorité utilise encore (dont moi je l’avoue!). Mais, vous me direz: il y a Google Docs… N’est-ce pas là une alternative? Oui, comme je vous l’ai dit, elle est excellente même ! Si je produis un texte avec cet outil et que mon client ouvre le texte avec Word, généralement ça fonctionne très bien, je peux donc facilement exporter le résultat de mon travail en format Word (ou bien figer le tout en PDF). Mais le problème est plutôt en sens inverse. Par exemple, un client m’a dernièrement envoyé un volumineux rapport (fait avec Word 2010) incluant des tableaux, divers schémas, une mise en page un peu plus élaborée. Et vlan! Microsoft fait des siennes ! La compatibilité n’est pas parfaite (même très mauvaise dans ce cas): la mis en page a changé, la pagination différente fait que la table des matière fonctionne mal. Bref le résultat est que je ne peux, sans qu’il n’y ait d’erreur, que procéder en mode de visualisation ! Grande déception. Pourquoi est-ce ainsi ? Les nouveaux formats docx, xlsx, etc… ne sont pas encore pris en charge totalement dans leur grande majorité : des progrès sont à faire, des améliorations qui se feront avec le temps... Mais Microsoft prends son temps et fera tout, à mon humble avis, pour enrichir ses futurs logiciels (tels ceux de la suite Office 365), de nombreuses fonctions agréables pour l’utilisateur, mais qui ne sont pas basées sur des formats ouverts et libres, ce qui empêche la compatibilité. Et c’est là le problème, nous en sommes victimes!

15

C’est ainsi qu’ils nous prennent en otage, comme utilisateurs, dans un écosystème très intéressant, mais fermé ! Moi même, j’utilise les produits de la suite Office depuis toujours, j’ai utilisé aussi Libre Office (http://fr.libreoffice.org/), Open Office (http://www.openoffice.org/fr/), Abiword (http://www.abisource.com/), la suite proposée par Zoho (http://www.zoho.com/docs/). Ils ont tous leurs forces, leurs lacunes, mais réussissent pour la plupart à nous satisfaire comme utilisateur individuel. C’est lorsqu’on travail en groupe, avec des utilisateurs qui sont sur d’autres plateformes que ça se gâte, à moins que tous utilisent la même plateforme... Que voulez-vous, Microsoft a lancé un produit que nous avons tous adoptés, (car il y avait auparavant moins d’alternatives) et, en adoptant des standards fermés, nous sommes privés dans notre libre choix. (voir aussi l’excellent article intitulé: L’accessibilité, une question de liberté http://www.framablog.org/index.php/post/2013/08/24/accessibilite-libertestallman-altinier). Parce que l’informatique en nuage et les standards ouverts permettent de nouvelles solutions, est-ce que ce sera différent avec le temps? Je le souhaite, mais ce n’est pas le cas actuellement!. Quelle ne fut pas ma déception, en m’abonnant à la suite Office 365 (version cloud, http://office.microsoft.com/fr-fr/) et en essayant de l’utiliser avec mon Chromebook (donc sur le web), de constater que la suite, même si elle est en ligne, n’est malheureusement pas compatible. En s’abonnant, Microsoft nous demande d’installer des fichiers sur l’ordinateur qui, eux, ne peuvent pas s’installer sur le Chromebook en question (.exe fichier exécutable). Donc pour pouvoir profiter de la suite Office 365, il nous faut un PC Windows ou un Mac!). Mais rien n’est fait pour les gens comme moi et qui sont de plus en plus nombreux, à naviguer sur d’autres plateformes que Windows. J’ai cependant accès aux Office Web Apps (http://office.microsoft.com/fr-001/web-apps/), mais qui sont cependant une version moins complète que la suite régulière Office et même à mon avis moins complète que les applications que

16

nous propose aussi gratuitement Google. et al. Avec Office et même sur le nuage, Microsoft, tu nous tiens en otage ! Et je m’en souviendrai dans mes prochains choix technologiques! Bonne lecture ! Au plaisir d’échanger avec vous. Éric Lamirande Consultant et formateur Groupe Conseils DDE s.e.n.c. www.groupedde.com

TITRE DE L’ARTICLE Chercheurs d’emplois (offreurs de compétences), vous devriez être actifs sur Linkedin Publié en février 2014

Suite

à

mon

article

du

mois

dernier

concernant

les

logiciels

de

traitement

des

candidatures

(http://sanspapier.teluq.ca/articles/chronique/techno/technologie2_0314/), j’ai pensé aujourd’hui vous écrire pour vous convaincre, notamment les étudiants et finissants de la TELUQ, non seulement de créer un profil sur le réseau social LinkedIn, mais surtout d’y être très actifs. Quel bel endroit pour y rayonner en tant qu’offreur de compétences! Pour vous aider à voir plus clair, voici l’histoire de Boubacar, un étudiant ayant récemment immigré au Québec. Cette personne existe vraiment et seul son nom a été changé. À partir de cet exemple, je crois que vous pourrez découvrir des pratiques d’excellence qui pourront vous aider à optimiser votre présence. Notre ami Boubacar a 30 ans. Il a immigré au Québec il y a 2 ans seulement. Malheureusement, il n’a pas réussi a trouver un emploi permanent, se contentant jusqu’à maintenant de petits boulots pour la plupart non liés à ses compétences professionnelles en tant que conseiller en marketing/communication. Pourtant il travaillait dans son domaine dans son pays d’origine. Timide, il affirme ne pas avoir ici de réseau de contacts. Il a de plus décidé de s’inscrire à des cours d'appoint et a démarré un programme court de 2e cycle à la TELUQ pour enrichir ses compétences.

17

N’ayant pas mis à jour son curriculum vitae depuis environ 6 mois, ce sera donc l’étape préliminaire avant de se lancer sur LinkedIn. Le compte qu’il avait d’ailleurs ouvert, il y a quelques semaines (comme 15% des québécois: http://www.cefrio.qc.ca/netendances/medias-sociaux-2013/), indique justement comment remplir son profil; il ne suffit que de répondre à toutes les questions. Voici rapidement comment il peut rapidement enrichir son profil en 10 étapes faciles: 1. Compléter en entier son profil et y mettre sa photo (à partir des données de son curriculum vitae; c’est aussi l’occasion de le mettre à jour.)

Remarquez que, sur LInkedin, il est indiqué de mettre sa photo. C’est ce que je recommande d’ailleurs! Je veux seulement souligner ici la contradiction avec les modèles de curriculums vitaes québécois pour lesquels on ne met pas la photo afin d’éviter toute discrimination. Par contre, en ligne, les gens aiment savoir à qui ils ont affaires, c’est la pratique habituelle.. 2. S’inscrire dans les groupes de discussion appropriés à la recherche d’emploi et participer aux discussions.

Il y en a plusieurs, allant des plus généraux aux plus spécifiques. Pour les retrouver, utilisez le moteur de recherche interne de Linkedin et essayez certaines expressions telles “recherche emploi” ou “emploi Québec”. Soyez curieux ! 3. Publier du contenu pertinent dans son domaine professionnel

Tant qu’à s’inscrire dans un groupe de discussion, Boubacar devrait en profiter pour lancer lui-même des sujets de discussion. Il pourra ainsi faire rayonner ses compétences et poser des questions à ses pairs. Une bonne occasion de se familiariser avec les façons de faire au Québec. 4. Mentionner clairement dans son profil qu’il en recherche de nouveaux défis.

Plusieurs personnes utilisent d’ailleurs l’appellation “À la recherche de nouveaux défis”, placée bien en évidence en tête d’affiche du profil. Cela augmentera les chances de Boubacar d’être repéré comme tel par les recruteurs. 5. Suivre des organisations/entreprises reliées à son domaine.

18

Boubacar veut travailler dans le domaine des communications/marketing. Il peut donc rechercher directement les pages LinkedIn des entreprises qu’il a ciblées et s’y abonner pour suivre leurs publications. Il verra aussi ces informations maintenant dans son fil de nouvelles, en page d’accueil. 6. Tenter de cibler des recruteurs dans son domaine, s’inscrire aux mêmes groupes qu’ils fréquentent et tenter d’entrer en conversation avec eux.

Après avoir recherché une entreprise sur Linkedin, Boubacar a constaté qu’il voyait facilement les individus ayant aussi le même mot-clé/entreprise dans leurs profils. Il a donc pu cibler parmi eux les employés des ressources humaines de l’organisation et même le recruteur-chef dont le nom figurait d’ailleurs sur une offre d’emploi pour laquelle il a d’ailleurs postulé il y a quelques temps.

7. Ensuite, leur envoyer des invitations à faire partie de votre réseau.

C’est ainsi qu’il a envoyé une demande de contact au recruteur, reprenant certains aspects clés de sa candidature. Il pourrait par la suite, selon l’acceptation, échanger directement avec lui. 8. Enrichir son réseau de contacts.

Boubacar étant de nature plutôt timide, il a pu élargir son réseau de contacts québécois en utilisant Linkedin. Certaines personnes ayant commenté ces dernières publications, il profite de cette occasion pour leur envoyer, eux-aussi, des demandes de contacts, brisant ainsi sa timidité. . 9. Tenter de passer du contact virtuel au contact en personne (ou de vive voix).

Ayant ciblé certains individus pouvant l’aider professionnellement, notamment un gestionaire dans une entreprise reconnue du domain du marketing, Boubacar pourrait profiter du contact nouvellement établi avec cette personne pour solliciter une courte rencontre ou un échange téléphonique. Qui sait, pourra-t-il ainsi accéder directement à

19

cette personne-clé dans l’entreprise pour laquelle il souhaite travailler depuis son arrivés au Québec… Ainsi, il

n’aura pas à passer par le traditionnel défi de l’appel téléphonique à l’employeur, qui est souvent difficile à rejoindre et bien protégé par une réceptionniste des plus efficace pour filtrer les appels. 10. Ne pas attendre qu’un recruteur/chasseur de tête le repère (ce n’est pas une loterie!). Voilà pourquoi Boubacar doit adopter une stratégie active de recherche d’emploi et offrir ses compétences. LInkiedin est pour ce faire une plateforme privilégiée. En étant ouvert à échanger avec ses pairs et en faisant preuve d’ouverture d’esprit dans ses commentaires et publications, il enverra un signal positif important au recruteur et augmentera ainsi ses chances d’obtenir l’emploi rêvé. J’espère que cet article vous a aidé a voir plus loin et vous a sensibilisé à l’importance de soigner votre présence sur Linkedin. Plus vous vous impliquerez à enrichir celui-ci et à rayonner sur cette plateforme professionnelle, plus vous donnerez aux recruteurs le goût de vous rencontrer en entrevue car vous aurez su vous distinguer des autres candidats et vous aurez mis en valeur votre offre de compétences. Au plaisir d’échanger avec vous. Éric Lamirande Consultant et formateur Groupe Conseils DDE s.e.n.c. www.groupedde.com

TITRE DE L’ARTICLE : Entrepreneurs, les TI sont là pour vous et vous y avez accès ! Publié en février 2014

Je fais probablement le plus beau métier du monde ! Non, ne riez pas, vous vous dites probablement la même chose et c’est tant mieux... Vous travaillez dans votre emploi de prédilection… Peut-être que vous êtes un entrepreneur-consultant-formateur comme moi? En tout cas, pour ma part, je suis en amour avec ma clientèle ! Je les admire et j’ai avec eux de nombreux points communs. Étant moi-même en affaires depuis 2012, je comprends très bien leurs défis, et notamment ceux concernant leur présence sur le web et les médias sociaux. Dernièrement, j’en ai rencontré plusieurs dans des activités de coaching. Voici quelques points qu’ils ont en commun, pour la plupart: le manque de temps, le manque d’expertise technique en TI et le manque de ressources spécialisées… Voyons ensemble quelques conséquences cela amène-t-il au quotidien...

20

Source: www.http://technical.ly ●

Le manque de temps: Occupés à faire leur métier dans leurs champs d’expertise, pris par les nombreux suivis administratifs et comptables, plusieurs me disent avoir très peu de temps à accorder pour soutenir une présences virtuelle sur le web et les réseaux sociaux. Tout dépend aussi des objectifs stratégiques de l’entrepreneur. Étant adepte des petits pas, je suis le premier à leur dire de débuter sur un premier réseau social et d’y avoir une présence soutenu et régulière (ne serait-ce que 2-3 fois par semaine, par exemple sur une page d’entreprise sur Facebook ou bien sur Google+). Remarquez qu’ils peuvent aussi utiliser un réseau social professionnel comme Linkedin dans un but de veille sur les tendances en marketing, en gestion, par exemple. Les réseaux sociaux peuvent aussi avoir cette fonction de soutenir l’entrepreneur et de l’informer sur divers sujets (comme par exemple dans un groupe thématique tel Entreprendre différemment!: http://goo.gl/rA4zzK). Plusieurs entrepreneurs rencontrés sont cependant aussi très actifs ou compensent leur manque de présence en ligne en achetant de la publicité sur Google Adword: http://www.google.com/adwords). Une personne rencontrée, par exemple, dépensait environ 100$ par jour en publicité (environ 30 000$ par année). Cela peut vous paraître énorme (et ça l’est!), mais cela lui permet d’aller chercher un chiffre d’affaires dans les 6 chiffres… Tout dépend du domaine et de la clientèle à rejoindre. La personne a développé son autonomie et fait toute les démarches de manière pleinement autonome. Et oui, cela s’apprend! (https://support.google.com/adwords/?hl=fr#topic=3119071) Vous n’aurez pas toujours besoin d’externaliser…

21

Source: http://metiers.internet.gouv.fr/ ●

Le manque d’expertise en TI: Effectivement, pour ma part, l’informatique a toujours été une passion. Dans mon parcours professionnel, la formation spécialisée (à la TELUQ en affaires électroniques, http://www.teluq.ca/site/etudes/offre/prog/TELUQ/0362/) est venue plus tard (à 38 ans). Ma vie tourne autour de l’informatique et de médias sociaux; c’est devenu une partie importante des services que j’offre à travers mes entreprises. Cependant je peux très bien comprendre que tous n’ont pas la même passion! Cependant, on peut aussi acquérir de nombreuses compétences en étant autodidacte. Plusieurs outils existent pour vous aider, si le coeur vous en dit. On peut penser notamment à des sites tels: Le site du Zéro: (http://fr.openclassrooms.com/), ou bien Google Helpouts (https://helpouts.google.com/)



Le manque de ressources spécialisées: Certains entrepreneurs m’ont mentionnés qu’ils allaient confier la gestion de leur communauté virtuelle à une ressources externe (gestionnaire de communauté virtuelle), d’autres font déjà affaires avec des webmestres, édimestres, spécialistes en relation publique, spécialiste de l’optimisation du site internet et j’en passe… C’est une excellente idée! Juste en se reportant à l’infographie interactive sur les métiers du web (http://metiers.internet.gouv.fr/), on

constate qu’il est

normal de ne pas tout connaître et d’avoir besoin de se faire aider. Par exemple, concernant les médias

22

sociaux, voici un article que j’ai trouvé très intéressant: 12 questions pour différencier un vrai expert

Réseaux Sociaux d’un expert auto-proclamé, http://goo.gl/q24Q0s). Personnellement, je préfère l'appellation spécialiste à celle d’expert. Le spécialiste ne peut cependant prétendre tout connaître et ne devrait pas vous donner une réponse sans avoir analysé convenablement la situation: méfiez vous alors des fameux gérants d’estrades.

En conclusion, vous pouvez certainement réussir sur le web en étant autodidacte ! Mais, dans un but stratégique, il y a en complément, des spécialistes honnêtes, qui sauront vous rendre aussi autonome que vous souhaitez le devenir et prendront même le temps de vous expliquer les actions posées tout en vous donnant l’heure juste et un compte rendu détaillé des actions posées. Cela permettra certainement une contribution complémentaire à votre stratégie de présence en ligne. Il s’agit d’avoir un bon plan de match et de choisir le bon consultant selon vos objectifs (accompagnement ponctuel, externalisation partielle ou totale, coaching en temps réel, etc…) En ce sens, j’adore vous aider, c’est mon métier ! Au plaisir d’échanger avec vous. Éric Lamirande Consultant et formateur Groupe Conseils DDE s.e.n.c. www.groupedde.com

TITRE DE L’ARTICLE : Google+ n’est pas mort (et ne mourra pas) ! Publié en juin 2014

23

Les séries éliminatoires de la LNH me rappellent de belles années de rivalité entre les Nordiques (mes préférés!) et les Canadiens (les rivaux dans mon entourage proche!). Quelle belle époque, que de discussions animées à l’intérieur des chaumières du Québec. Ça brassait ! Et j’en garde d'excellents souvenirs de jeunesse... L’actualité technologique des dernières semaines m’a rappelé cet épisode marquant. Comme la rivalité Québec-Montréal, cette fois la rivalité Facebook versus Google+ m’amuse encore davantage. Encore une fois les bleus et les rouges s’affrontent. Et comme dans mon jeune temps, je ne suis pas objectif. Ce sont 2 très bons produits, mais je le dis ouvertement, j’adore Google… Ces deux réseaux sociaux sont différents et pour ma part, en tant que consultant (et aussi pour ma clientèle), ils me sont complémentaires. Google+ Is Walking Dead, titrait TechCrunch le 24 avril dernier (http://techcrunch.com/2014/04/24/google-iswalking-dead/);

cet

article

faisait

suite

au

départ

annoncé

de

Vic

Gundotra

(http://en.wikipedia.org/wiki/Vic_Gundotra), responsable en chef de Google+. Ce n’est pas banal ! Lorsque Patrick Roy a quitté le Canadien en décembre 1995, ce ne l’était pas non plus ! Était-ce la fin du Canadien ? Évidemment pas ! Un changement majeur, bien certainement ! Certains médias disent que le fait de ne pas avoir amené Google+

au

niveau

de

Facebook

est

même

un

échec

(Le

Nouvel

Observateur,

http://leplus.nouvelobs.com/contribution/1194337-google-plus-est-mort-et-ce-bien-avant-la-demission-de-soncreateur.html). «De ce que nous avons pu entendre de la part de plusieurs sources, Google+ ne sera plus considéré comme un produit, mais comme une plateforme –ce qui mettra fin essentiellement à sa compétition avec les autres réseaux sociaux comme Twitter et Facebook.” rapportent Alexia Tsotsis et Matthew Panzarino, journalistes à TechCrunch. Mais cela a toujours été ainsi, à mes yeux !

La panoplie d’articles comparant Facebook à Google+, depuis le lancement de celui-ci en 2011 ont envenimé cette rivalité

(comme

par

exemple

celui-ci,

en

parlant

de

bataille

http://socialmediatoday.com/marcmeyer/1716736/google-plus-versus-facebook-infographic). C’est humain et bien normal de chercher à comparer... Selon, moi, et bien au-delà de la stratégie initiale de Google (centrée ou non sur cette comparaison avec Facebook), là où on y trouve notre compte, comme entrepreneurs ou utilisateurs, est dans la valeur ajoutée que cela nous procure. En fait, pour ma part, j’utilise abondamment les 2 réseaux. Ma clientèle

24

principale étant sur Facebook, j’y consacrer de nombreuses heures à y soigner ma présence en créant et diffusant

du contenu à valeur ajoutée. Je ne crois pas que ma clientèle va quitter Facebook pour se retrouver sur Google+ pour y chercher la même chose (sans valeur ajoutée). De même, je ne crois pas être en mesure de les faire migrer sur Google+ s’ils n’y trouvent pas de nouveaux marchés ou de nouvelles utilités ! Et c’est là qu’il y a une opportunité pour les organisations d’investir du temps précieux dans les outils que propose Google (Drive, Docs, Gmail,

Local,

Blogger…

La

liste

est

longue…

Voir

une

liste

ici:

http://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_des_services_en_ligne_de_Google). Certains de mes clients apprécient Google+ justement pour les avantages complémentaires, la valeur ajoutée des produits proposés par Google, le tout étant couronné par une couche sociale rassembleuse et agrémentée d’un réseau social au contenu thématique très riche. Mais ils veulent aussi demeurer sur Facebook et c’est bien ainsi pour rejoindre le grand public! Facebook a d’ailleurs beaucoup amélioré sa stratégie mobile et son interface, dans la dernière année.

Oui ! Oui ! Je suis partisan, j’imagine que ça parfait? J’aime bien ce que nous offre Google comme produits. Comme je le lisais aussi: “Google+ n'est pas un produit ou une entité séparée de Google, mais au contraire un processus de ré-invention et d'amélioration de Google. (http://www.atlantico.fr/decryptage/resurrection-google-pasencore-mort-charles-liebert-429146.html#VHHGXIS3P3gjqyjJ.99). Je trouve dommage que l’on induise les gens en erreur en dénigrant un produit comme Google+, ce qui porte ombrage à ce que Google offre aux entrepreneurs comme outils la plupart du temps gratuit et d’excellente qualité. Vous aimerez lire, en complément à cet article, celui-ci : 5 Pervasive Myths About Google+ (http://socialmediatoday.com/whatsnextblog/2104066/five-pervasivemyths-about-googleplus).

À mon avis, il est normal qu’après 3 années d’opérations et de développements importants, on donne un nouvel élan à Google+ car par exemple Facebook et Twitter (eux aussi) ne disparaîtront pas à moyen terme. Google doit s’adapter et proposer des PLUS dans cet écosystème en ligne. En fait, Google+ n’est pas mort. Il sortira encore plus fort de cette transition. Le web social continuera à évoluer, peu importe le fournisseur de services et nous,

25

utilisateurs, entrepreneurs, spécialistes ou partisans, n’en sortiront certainement pas perdants. Derrière cette

bataille de réseaux sociaux, la vraie bataille se joue pour la publicité et la stratégie mobile doit y contribuer (http://obsession.nouvelobs.com/high-tech/20140226.OBS7767/google-vs-facebook-la-bataille-pour-conquerir-lemobile.html). On a donc pas fini d’en entendre parler. C’est à suivre… Au plaisir d’échanger avec vous. Éric Lamirande Consultant et formateur Groupe Conseils DDE s.e.n.c. www.groupedde.com

(C) Copyright 2015, Groupe Conseils DDE, par Éric Lamirande 155 Charest est suite 120 Québec, Québec, G1K 3G6 418-454-1019 [email protected]

26

Eric Lamirande_Articles Le Sans Papier_TELUQ.pdf

TITRE DE L'ARTICLE : Wordpress : un outil web pour pouvoir entreprendre différemment ! Publié en ... Ne parle-t-on pas actuellement de marketing. RH et de ...

2MB Sizes 4 Downloads 212 Views

Recommend Documents

conte-oceanie-le-pays-sans-fleurs.pdf
Page 1 of 4. Le pays sans fleurs. Comme il ne pouvait plus supporter. les hommes et leur méchanceté, le. plus puissant de tous les sorciers. avait décidé de ...

Le-Vodou-Haitien-Sans-Mystification-Mythes-Myst-res-Mystique ...
Whoops! There was a problem previewing this document. Retrying... Download. Connect more apps... Try one of the apps below to open or edit this item. Le-Vodou-Haitien-Sans-Mystification-Mythes-Myst-res-Mystique-French-Edition.pdf. Le-Vodou-Haitien-Sa

fichier-sans-nom.pdf
There was a problem previewing this document. Retrying... Download. Connect more apps... Try one of the apps below to open or edit this item.

Bulletins sans notes 5eme.pdf
Bulletins sans notes 5eme.pdf. Bulletins sans notes 5eme.pdf. Open. Extract. Open with. Sign In. Main menu. Displaying Bulletins sans notes 5eme.pdf. Page 1 ...

Agora 75 sans pub.pdf
There was a problem previewing this document. Retrying... Download. Connect more apps... Try one of the apps below to open or edit this item. Agora 75 sans ...

AGORA 72 sans pub.pdf
Sign in. Loading… Whoops! There was a problem loading more pages. Retrying... Whoops! There was a problem previewing this document. Retrying.

Refuerzo Ñ (comic sans).pdf
Page 1 of 4. Refuerzo Ñ. http://fichasalypt.blogspot.com/ Cristina Miras AL. Copia. Ana llena la de agua. Me gustan las asadas. La teje su lentamente. Silvia ...

fichier-sans-nom (1).pdf
Loading… Whoops! There was a problem loading more pages. Whoops! There was a problem previewing this document. Retrying... Download. Connect more apps... Try one of the apps below to open or edit this item. fichier-sans-nom (1).pdf. fichier-sans-no

Agora 74 sans pub.pdf
Retrying... Download. Connect more apps... Try one of the apps below to open or edit this item. Agora 74 sans pub.pdf. Agora 74 sans pub.pdf. Open. Extract.

Sparex-TESTEURS HUMIDITE SANS TARIF.pdf
BHT-1. Testeur d'Humidité pour Foin Monté sur Presse. • Adapté aux presses à balles carrées ou rondes. • Lecture directe du % d'humidité pendant le pressage.

SANS 2018 Clinical Neuroscience Preconference -
May 3, 2018 - Harvard University. Investigating neural circuits underpinning reward and anhedonia using optogenetic functional MRI. Philip Corlett, Ph.D.

mortal coils - Eric Nylund
Syne, writers can be hermits, bears in caves that growl at all outsiders. Who but another writer to draw me out and keep me sane and civilized with your love? One could not ask for a better soul mate. Kai, my marvelous son, you were three and four ye

ERIC Accounts
searching through database vendors like EBSCO, ProQuest, and First Search. ... the top of the page, you will be taken to a list of all the ProQuest databases Briggs .... that the request was submitted and an email with instructions for accessing ...

conte-asie-le-petit-chacal-et-le-chameau.pdf
entre les deux bosses, et le chameau. traversa la rivière à la nage. Quand. ils furent sur le bord, le petit chacal. sauta à terre, indiqua au chameau le. champ de ...

12 - Le Tresor de rackham le rouge.pdf
the 2016 Acquisition for 1Q 2017. Whoops! There was a problem loading this page. Retrying... Whoops! There was a problem loading this page. Retrying... 12 - Le Tresor de rackham le rouge.pdf. 12 - Le Tresor de rackham le rouge.pdf. Open. Extract. Ope

eric dauenhauer
improve backend development along the way. CREDENTIALS ... Back-end experience with Python, MySQL, Firebase, AJAX, Google Apps Script, NodeJS. ○.

IR Applications - Eric
24 Aug 2005 - consistent and numeric measures accurately capture expected ... data. The resulting summary representative statistics may have little validity and hence inappropriate for important applications. Mollaghasemi and Pet-Edwards (1997) discu

Eric Qs
The model fits the data well – it matches, among other .... pension, the risk of outliving one's expected lifespan is an important driver of asset holdings in old age.

mortal coils - Eric Nylund
guidance, and support. Special thanks to Eric Raab ... Eliot grabbed his homework off his desk. He flexed his hand, .... good enough. “They've had breakfast?” Grandmother asked Cecilia. “At eight thirty.” Cecilia gathered her letters and enve

eric final.pdf
Sign in. Page. 1. /. 4. Loading… Page 1 of 4. Page 1 of 4. Page 2 of 4. Page 2 of 4. Page 3 of 4. Page 3 of 4. eric final.pdf. eric final.pdf. Open. Extract. Open with. Sign In. Main menu. Displaying eric final.pdf. Page 1 of 4.

Eric Qs
reduces life expectancy at age 70 by 2-4 years, depending on gender and permanent income. The dashed line assumes that, besides being always sick, everyone has the life expectancy of a male, which is 4-5 years less than that of a female. Finally, the

le CA.pdf
There was a problem previewing this document. Retrying... Download. Connect more apps... le CA.pdf. le CA.pdf. Open. Extract. Open with. Sign In. Main menu.

Le sauna.pdf
There was a problem previewing this document. Retrying... Download. Connect more apps... Try one of the apps below to open or edit this item. Le sauna.pdf.