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7 VOIX DE CHEVERNY & COUR-CHEVERNY Avril 2010

Édito

Trimestriel

ENFIN DU SOLEIL !

Ce numéro 7 est un sacré numéro !

Avec les beaux jours s’ouvre la saison touristique et se préparent les nombreuses manifestations culturelles et les spectacles reconduits d’années en années sur nos deux communes. Notre “Grenouille”, bien que bavarde, suffit à peine à en relayer les informations. Il faut bien avouer qu’avant de nous lancer dans cette aventure éditoriale circonscrite à Cheverny et Cour-Cheverny, nous ne mesurions pas à quel point nos associations locales sont actives et nous nous félicitons des excellentes relations que nous nouons un peu plus chaque jour avec elles. Nous mettons aussi en avant notre histoire et notre environnement qui n’ont pas fini de nous inspirer pour les partager avec vous dans une bonne humeur que nous pensons salutaire. “La Grenouille”, pour bavarde qu’elle soit, ne se contente pas de relater mais se veut aussi acteur en participant à la vie locale dans la mesure de ses moyens via l’association “Oxygène”. N’hésitez pas à nous contacter et à échanger avec notre équipe qui est à votre écoute. La Grenouille

Vie de nos communes CLUB DES SÉNIORS DE CHEVERNY “La Grenouille” était invitée à l’assemblée générale de l’association qui s’est tenue le 28 février 2010 et au cours de laquelle, outre les votes statutaires (le bureau a été réélu) madame Peritoire-Fulachier a fait un exposé sur les activités du Centre Intercommunal d’Action

L’assemblée générale du Club des Séniors de Cheverny a eu lieu le 28 février 2010 sous la présidence de Pierre Durand. Il s’en est suivi le repas traditionnel, ponctué de chansons et d’histoires qui ont animé une excellente journée.

Sociale (CIAS) qui propose ses services aux habitants des deux communes qui sont membres d’Agglopolys (voir article ci-contre). L’A.G. s’est poursuivie par un repas préparé par JeanJacques Bietrix, excellent comme à son habitude, et l’après-midi s’est terminée par des chansons, une tombola et des jeux de société. Rappelons les activités proposées par le Club des Seniors, qui sont multiples : jeux divers (certains mercredi du mois) et des ateliers (certains jeudi). Renseignez-vous pour les dates. À noter : une session informatique qui débutera le lundi 3 mai prochain à raison d’une séance tous les lundis jusqu’au 28 juin inclus. Cette activité vous permettra de faire connaissance avec l’ordinateur et ses applications principales et notamment de surfer sur le net ! toutes les activités sont suivies d’une collation gratuite. Les animations et les sorties prévues : - Un déjeuner dansant avec D.J. le samedi 17 avril (prix 20 €) ; - Un repas à thème salle des associations de Cheverny le 19 mai, (prix 14 € - inscription et

règlement au plus tard le 10 mai) ; - Le repas de la Saint-Jean. Méchoui ou mouton à la broche le jeudi 24 juin (prix 15 € - inscription et règlement avant le 13 juin). Renseignements et inscriptions auprès de Pierre Durand au 06 23 49 17 29.

AMICALE DES RETRAITÉS DE COUR-CHEVERNY Présidée par Francette Riby depuis octobre 2007, l’Amicale, qui s’appelait jusqu’en 2002 “Club des anciens”, a été créée fin 1967 par René Pasquier (père de Michel Pasquier de Cour-Cheverny – v. “La Grenouille” n° 3). L’Amicale offre à ses 189 Francette Riby, présidente adhérents des activités du Club des retraités de variées destinées à créer Cour-Cheverny. des liens d’amitié, mais aussi de solidarité entre ses membres. Chaque jeudi de 14 h à 18 h des jeux divers sont organisés salle Gabrielle – ancienne gare de CourCheverny - et chaque vendredi des ateliers de couture, tricot et peinture sur tissu. L’association organise en outre dans l’année 5 thés-dansants et 5 séances de cinéma assurées sur place par l’équipe de Cap Ciné de Blois. Prochaines sorties organisées : - Spectacle “Les Chevaliers du Fiel”, aux Montils le 6 mai prochain ; - Un voyage sur les lacs italiens en juin (complet). Pour la petite histoire, Nadège Menou, trésorière et membre depuis 29 ans (1981) rapporte que la salle “Gabrielle” avait été baptisée du prénom de la première vice-présidente de l’association et épouse de Jean Grateau, maire à l’époque de la création. Pour tous renseignements ou inscriptions contactez Francette Riby au 09 62 19 78 35 ou la mairie de Cour-Cheverny au 02 54 79 96 38.

Sommaire ● ●

Edito : Enfin du soleil .................................... 1 Vie de nos communes ................................ 1 - Club des séniors de Cheverny - Amicale des retraités de Cour-Cheverny - Centre Intercommunal d’Action Sociale (CIAS)

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Événements de l’été ................................ 2 - 3

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- Jazzin’ Cheverny : Michel Legrand au château de Cheverny - Sandra Nkaké, “la bombe” du festival ! - Les coulisses de Jazzin’ - Le Messie de Haendel - Côté Cour, côté Loire - Autres manifestations de l’été L’association en vue : Palettes & pinceaux ...... 3

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Vie de nos communes ................................ 4

- “La Favorite” : pour une retraite paisible - L’association pour la protection des sites ● Art de vivre : La Maison des vins de Cheverny ... 5 ● En vue : La cordée du Val de Loire ................ 5 ● La Grenouille savante : Du bélier au colombier .... 6 ● Les enquêtes de La Grenouille : Cour toujours ... 7 ● Mémoire : Un parfum de guerre civile ................. 7 ● Nature : Langue de bois ................................... 8 ● Info : Visite du parc de Cheverny ........................ 8

LE CENTRE INTERCOMMUNAL D’ACTION SOCIALE (CIAS) Lors de l’AG du Club des Seniors de Cheverny, madame Peritoire-Fulachier, animatrice des solidarités du CIAS, a rappelé le rôle et les actions du CIAS envers les habitants de nos deux communes. Cheverny et Cour-Cheverny dépendent maintenant d’Agglopolys et de nouveaux services et permanences sont proposés dans le cadre notamment des services à la personne (en plus des services proposés par l’ADMR). C’est ainsi qu’un correspondant social du CIAS tiendra une permanence à la mairie de CourCheverny - Aide pour les démarches administratives : Colette Common que vous pourrez joindre au 02 54 57 41 41 (répondeur) sera à la mairie le mardi, les 2e et 4e semaine du mois de 14 h 30 à 16 h 30. Accompagnement social (insertion, RSA, recherche de logement, accès aux soins, secours financier) : Marion Point, sur rendez-vous au 02 54 57 41 80 ou à la mairie le premier jeudi de chaque mois de 14 h à 17 h. (pour les personnes ou couple de 18 à 25 ans sans enfants mineurs à charge. Dans les autres cas, s’adresser à l’UPAS du Conseil Général à Contres au 02 54 79 74 00). À noter : le CIAS se déplace à domicile sur demande. En outre, il assure maintenant pour les aînés le service des repas à domicile, dont le coût est fonction des ressources, service assuré par la Sté Avenance. Pour en bénéficier, s’adresser au CIAS pôle accueil retraités (tél : 02 54 57 41 23). Enfin, dernier service : le service d’accompagnement aux repas individualisés (SARI) au restaurant du foyerrésidence Lumière, les vendredis : 23 avril, 28 mai, 11 et 25 juin pour ce trimestre. Contact Jérôme Narbonne au 06 74 95 32 96. 1

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Événements de l’été MICHEL LEGRAND AU CHÂTEAU DE CHEVERNY QUAND UN MONUMENT RENCONTRE UN AUTRE MONUMENT : VIVEZ CE MOMENT UNIQUE GRÂCE À JAZZIN’ ! “Depuis mon plus jeune âge, ma seule ambition a été de vivre complètement entouré de musique. Mon rêve, c’est de ne rien omettre, c’est pour cela que je ne m’en suis pas tenu à une seule discipline musicale. J’adore jouer, diriger, chanter et écrire et ce dans tous les styles…”. Michel Legrand a réussi à réaliser un défi singulier : celui de vivre plusieurs vie en une seule. Né en 1932, Michel Legrand entre au Conservatoire de Paris à l’âge de dix ans et en sort avec un premier prix. Il travaille comme accompagnateur et directeur musical pour Maurice Chevalier, qu’il accompagne dans ses tournées internationales, ce qui lui donne l’occasion de visiter notamment les États-Unis. En 1954, déjà, il réussit à classer en tête des ventes aux États-Unis son album instrumental “I love Paris”. – En 1964, La musique et la chanson du film “Les Parapluies de Cherbourg” le consacre et le font connaître dans le monde entier. Il obtient cette année là le prix “Louis Deluc” et aux États-Unis un Oscar aux “Academy Awards” (appelés aussi “Les Oscars” d’Hollywood, pour le cinéma). Depuis, les recompenses se succèdent : 7 autres nominations et 2 autres Oscars aux Academy Awards, dont un pour la chanson du film L’affaire Thomas Crown, en 1968, ainsi que 5 nominations et une récompense aux “Grammy Awards” (équivalents des Oscars d’Hollywood dans le domaine musical). Cet Oscar lui est attribué en 1975 dans la catégorie “Best jazz performance by a big band” pour ”Image”. Après le succès de L’affaire Thomas Crown et sa chanson “Les moulins de mon

SANDRA NKAKÉ, “LA BOMBE” DU FESTIVAL ! Sandra Nkaké est une chanteuse de dimension internationale dotée d’une voix incroyable, d’un corps de rêve couleur café et d’un tempérament de feu ! C’est une véritable show-girl, comédienne et danseuse. Folk, Soul, Jazz, Hip-Hop mais aussi les voix bulgares, le flamenco, de Jeff Buckley à Miles Davis en passant par Nina Simone, Joni Mitchell, Aretha Franklin, Bjôrk, Buni Raitt ou La Niñade los peines, Sandra Nkaké n’écoute aucun style musical particulier, seule l’émotion pure et simple compte et c’est précisément sur cette base qu’elle crée sa propre musique. En octobre 2008, elle sort son premier album “mansaadi”. Les critiques sont unanimes pour saluer son talent. Sandra Nkaké fait toujours l’actualité musicale : Le 29 octobre 2009 elle chantait à “La Cigale” à Paris, en novembre 2009 à Brasilia et à Sao Paulo, en mars 2010 elle a fait la couverture du magazine "Jazz magazine/Jazzman", revues qui ont fusionné cette année. Jazzin’ Cheverny vous propose donc un spectacle à ne manquer sous aucun prétexte, le samedi 12 juin 2010 à 21 h 30, dans l’enceinte du château de Cheverny !

cœur“ (The Windmills of Your Mind), Michel Legrand décide de partager son temps entre Paris et Hollywood et il s’installe donc à Los Angeles en 1968. Il considére la musique de film comme une autre forme de dialogue. Michel Legrand est le seul compositeur européen dont la filmographie inclut les noms d’Orson Wells, Marcel Carné, Clint Eastwood, Norman Jewison, Louis Malle, Andrzej Wajda, Richard Lester, Claude Lelouch, pour ne citer qu’eux. Il est impossible de dire tout ce qu’il y a à dire sur Michel Legrand en quelques lignes, pour décrire son amour du jazz, ses bœufs avec Miles Davis, Stan Getz, Phil Woods ou Stéphane Grappelli, ses rencontres avec les grands noms de la musique classique (Kiri Te Kanawa, Jessye Norman, Maurice André) ou de la chanson populaire (Yves Montand, Barbra Streisand, Charles Aznavour). En 2005, pour rester dans le domaine du jazz et pour rendre hommage à son ami, le chanteur toulousain Claude Nougaro (décédé en 2004), en collaboration avec des musiciens, grands noms du jazz, et à l’aide d’enregistrements de la voix de Nougaro, Michel Legrand a enregistré de nouvelles versions de chansons moins connues du chanteur ; chansons écrites ensemble lors de leurs nombreuses collaborations. À 78 ans, Michel Legrand poursuit sa carrière et c’est bien un “Monument” que vous pourrez venir applaudir le vendredi 11 juin 2010 en soirée au château de Cheverny. 120 musiciens et techniciens, LES COULISSES DE JAZZIN’ nourrir installer 900 chaises dans la cour du

“La Grenouille”, toujours curieuse, a voulu en savoir plus sur l’organisation du festival. Elle a rencontré Stéphane Jouannest, le programmateur : - La Grenouille : Que peut-on dire sur l’organisation de ce festival qui a l’air assez lourd à gérer ? - Stéphane Jouannest : Jazzin’ est une association composée uniquement de bénévoles dont le but est d’organiser un événement musical accessible à tous. Une équipe de 10 personnes travaille à partir du mois de septembre sur la future édition et, pendant le festival, c’est 80 bénévoles qui sont présents pendant 4 jours. À partir du mois d’avril, 1 000 affiches et 75 000 dépliants seront distribués dans les commerces du département et lors des concerts de la région. Pendant le festival, il faudra

château et aménager la place du village. En 2009, le festival a accueilli plus de 2 500 personnes sur les 3 scènes. - La Grenouille : Y a-t-il une particularité cette année ? - Stéphane Jouannest : Un groupe de 200 musiciens se produira le dimanche à 18 h et cette prestation sera assez lourde à mettre en œuvre. La coordination devra être parfaite. Nous tenons à ce que le festival soit accessible à tous et, cette année encore, de nombreux concerts gratuits seront proposés sur la place du village et les concerts au château seront à des prix très accessibles : 17 euros la soirée ou bien le pass à 30 euros pour tous les concerts au château. Le Héron

MASCULIN

Prêt-à-porter

JAZZIN’ CHEVERNY 2010 : LE BOUQUET FINAL AVEC 200 MUSICIENS ! Le dimanche 13 juin, en fin d'après-midi (18 h), les écoles de musique d'Agglopolys, qui ont mis au point une création avec une formation du Loiret sur le thème des fanfares, musiques colombiennes et boliviennes, présenteront un véritable feu d’artifice sonore. Les 200 musiciens de “La Belle Image” se produiront dans l'enceinte du château en clôture du festival. LE MESSIE DE HAENDEL Une réduction immédiate de 10 % sur présentation de ce n° de La Grenouille

Après les journées très denses de Jazzin’ à Cheverny, et avant la fête de la musique le 21 juin avec la Lyre de Cour-Cheverny, une représentation du Messie de Haendel aura lieu le dimanche 20 juin à 17 h en l'église de CourCheverny. Le projet, à l'initiative de deux courchois, que certains connaissent peut-être malgré leur discrétion (il s'agit du duo piano-violon Cousin-Goïc, avec deux CDS à leur actif), se réalisera grâce au soutien de la mairie de Cour-Cheverny et à l'accueil bienveillant de Don Vincent. L'oeuvre, d'une grande spiritualité réunira un orchestre formé de jeunes étudiants de 3e cycle du Conservatoire de Blois, encadrés par des

professionnels (Blois, Orléans, Versailles), et une chorale de Paris, l'ensemble vocal Magadis, tous placés sous la direction de la chef d'orchestre d'origine argentine Viviana Azar. Le concert sera redonné à Paris le 3 juillet en l'église Saint-Louis en l'Île, dans le cadre d'un projet humanitaire "Choeur à coeur" dont l'objectif est, dans un esprit de partage, d'offrir aux plus démunis un moment de bonheur musical et d'émotion, l'accès à la culture et au concert classique. Les tarifs du concert du 20 juin sont très étudiés : 10 euros pour les adultes, 5 euros pour les lycéens et les étudiants, et la gratuité pour les moins de 16 ans. Le programme sera distribué gratuitement afin que chacun puisse suivre les textes et la musique, et profite pleinement de cette oeuvre magistrale. Un spectacle à voir et entendre en famille. Venez nombreux ! La Rainette 2

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CÔTÉ COUR CÔTÉ LOIRE L’association “Les Rencontres Théâtrales“ pour la 3e année présente, du 16 au 20 juillet 2010 LE FESTIVAL FRANCOPHONE DU THÉÂTRE AMATEUR DE COUR-CHEVERNY Pour sa 3e édition, le festival fait peau neuve et s’appellera désormais “Côté Cour Côté Loire” évoquant ainsi la commune de Cour-Cheverny et les communes partenaires de Vineuil, Chitenay, Cormeray et Saint Gervais-la-Forêt,

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voisines et proches de la Loire. De plus le festival étend sa sélection hors de France pour accueillir des troupes francophones venant de Gant et de Tournai en Belgique. Nombreuses ont été les demandes de participation des troupes et la sélection a permis de présenter cette année 12 compagnies parmi les plus expérimentées dans une grande diversité des genres. Le dîner-théâtre du samedi 17 juillet 2010 à la salle des fêtes de Cour-Cheverny présentera aux spectateurs, après un dîner musical, une des opérettes les plus enjouées du répertoire “Frou Frou les bains” de Patrick Haudecoeur par une troupe remarquable venant de Périgueux. Le festival 2010 avec le partenariat des communes environnantes offrira au public une vraie rencontre théâtrale par sa diversité des lieux et des œuvres présentées. Contact : [email protected] http://www.cotecour-coteloire.fr

UNE MYSTÉRIEUSE ATTRACTION AU CHÂTEAU DE CHEVERNY LE 19 AVRIL Pour que la surprise soit totale, “La Grenouille” gardera secrète jusqu’à l’ouverture la nature de la nouvelle attraction qui sera offerte aux visiteurs du château à partir du lundi 19 avril prochain. Cette attraction se tiendra dans la partie gauche de l’Orangerie, la partie droite étant consacrée à un salon de thé, qui ouvrira en même temps. Alors, profitez des vacances pour venir au château ou lisez la presse locale, à partir du 19 avril, si vous voulez en savoir plus.

MANIFESTATIONS ORGANISÉES PAR L’ÉTOILE SPORTIVE : AUTRES MANIFESTATIONS JUDO : La section judo de l’ESCCC organise son 1er tournoi amical départemental le samedi 8 mai à 14 h au gymnase de Cour-Cheverny. Quatre clubs du département se sont déjà inscrits. Ce tournoi est réservé aux catégories poussins et benjamins. L’entrée sera libre et gratuite et “La Grenouille” vous conseille de ne pas manquer cet événement si vous vous intéressez à ce sport, car c’est une bonne occasion de le faire découvrir à vos enfants. Contact : Guy Clamagirand au 02 54 79 99 48 ● RANDONNÉE PÉDESTRE : À Cheverny le dimanche 9 mai, avec la traditionnelle traversée du parc du château sous la majestueuse voûte formée par l’allée des cèdres plus que centenaires. Contact : Dominique Bigot au 02 54 79 20 63. ● LA SECTION BABY GYM , ou plus exactement “Parents-bébés” organise le 23 mai prochain à la salle des fêtes de Cour-Cheverny un vide-grenier/puériculture qui vous permettra de faire de bonnes affaires. Venez nombreux (toute la journée). Renseignements auprès de la présidente, madame Tallet, au 02 54 79 94 34 (“La Grenouille” consacrera un article à cette activité originale et relativement méconnue dans son prochain numéro). ● DANSE : Comme tous les ans, la section de danse “Modern Jazz” présentera son spectacle le samedi 5 juin à 20 h 30 à la salle des fêtes de Cour-Cheverny. Le thème sera cette année celui des vacances, avec comme titre pour le spectacle : “Face à la Mer…les jolies colonies de vacances” (avec aussi de petites scénettes jouées par des parents…). “La Grenouille” s’est laissée dire que ce spectacle serait aussi étonnant que l’année dernière. Contact : Lydia Jacquet au 02 54 79 22 04. ●

L’association PALETTES ET PINCEAUX "Palette et pinceaux", le nom est évocateur et l'on comprend tout de suite qu'il s'agit de dessin, de peinture... Il s'agit d'une association bien connue des habitants de Cour-Cheverny et Cheverny (et même au-delà, nous souffle “La Grenouille”), qui propose à ses membres des cours collectifs d'arts plastiques. L'association, très dynamique, forte de 67 adhérents nous précise sa présidente Jeannine Rodriguez, organise chaque année l'exposition des oeuvres réalisées dans la salle de la mairie de Cour-Cheverny. L’exposition aura lieu cette année les 5 et 6 juin prochains (dessins, pastels, peintures à l'huile, gouaches, aquarelles, peintures acryliques etc.). Les cours se déroulent depuis 2006 dans la nouvelle salle municipale des associations à Cour-Cheverny, qui offre un atelier clair et spacieux. L'association, existe depuis 1998 ! Créée par quatre amies, avec la volonté farouche et le désir passionné d'apprendre, de découvrir le dessin, la peinture et surtout d'offrir cette possibilité aux habitants de Cour-Cheverny en ouvrant un atelier dans le village même. Certaines adhérentes, parmi celles présentes dans les débuts, se souviennent des cours à l'ancienne gare de Cour-Cheverny... Que d’évolutions depuis ! Certaines se sont lancées et participent à des expositions à titre individuel.

MUSIQUE LOISIR : Cette association qui fête ses dix ans cette année (et qui mérite d’être connue pour son originalité – voir le prochain n° de “La Grenouille”) organise sa “7e soirée concert – entre trad’ et rock, en passant par le blues…” le 22 mai à la salle des fêtes de Cour-Cheverny. C’est une occasion de faire connaissance avec une association qui est à l’origine de la formation de certains membres de groupes musicaux de la région. Entrée gratuite . Contact : Bruno Raimbault, président au 02 54 79 96 38. ● LA FÊTE DU PAIN : L’un des événements incontournables du mois de juillet, Le Comité des Fêtes de Cour-Cheverny organise sa fête du pain le dimanche 4 juillet 2010. Le thème, cette année est le Portugal. Les repas du midi et du soir ainsi que l’animation du village, seront placés sous le signe de la cuisine portugaise et du folklore. Un village gastronomique sera installé comme l’an passé (vous y trouverez aussi le stand de “La Grenouille” où vous pourrez nous rencontrer !). Vous pourrez aussi parcourir la brocante et admirer les œuvres des métiers de l’art et de l’artisanat (dans la salle des fêtes) et, si vous êtes sportifs, participer à la randonnée pédestre… Pour vous inscrire pour la randonnée ou pour tenir un stand et pour tous renseignements, contactez le président, Guy Diévart au 02 54 79 20 17. ● TOUS AU GOLF : Cette année, l’opération annuelle gratuite de découverte du golf est organisée au golf du Château de Cheverny du 12 au 17 mai. Réservez dès maintenant votre jour et votre créneau horaire en téléphonant au 02 54 79 24 70 ou en passant à l’accueil. ●

en vue Marie-Christine Rabotin, qui anime les cours d'arts plastiques, expose régulièrement ses oeuvres à Cormeray, Blois, Mont-près-Chambord (où elle fut invitée d'honneur), etc. D'inspiration abstraite, les tableaux de Marie-Christine Rabotin laissent une large place au rêve, à la poésie, au fantastique et à l'imagination de chacun. Diplômée de l'école des arts plastiques d'Orléans et des Beaux-arts de Paris, elle donne des cours de dessin et de peinture ouverts à tous, débutants, initiés, adultes, en s'adaptant à la personnalité de chacun et s'occupe également d'enfants et d'adolescents (il existe en effet un groupe bien vivant d'une douzaine d'enfants, le mercredi, dont on a pu déjà voir les travaux salle de la mairie lors du "Printemps des poètes", et qui participe bien sûr à l'exposition annuelle). Les cours se passent dans une ambiance conviviale où l'on partage le plaisir de peindre, dessiner, créer. Marie-Christine passe de table en table, dispense ses conseils et explications à chacune (et chacun ! “La Grenouille “ croit savoir qu'il y a quelques messieurs, même s'ils sont très peu nombreux...). Joignant parfois le geste à la parole, elle corrige au pinceau l'ovale d'une ellipse, adoucit une ombre, montre un geste et s'exclame : "à toi maintenant, continue !" Depuis 2006 avec la création du cours pour les enfants s'est également ouvert un cours d'enca-

drement animé par Catherine Marchand. En 2010, toujours avec cette soif d'apprendre, l'association a organisé une conférence d'histoire de l'art sur l'impressionnisme présentée par Laurence Merlette-Haddou, conférencière à l'Artothèque du Val de Loire. Monet, Renoir, Sisley ... pour un premier sujet salle de la mairie à Cour-Cheverny avec des tarifs très étudiés : 4 euros pour les adultes et la gratuité pour les scolaires. Cette première conférence sera peut-être suivie d'autres rendez-vous pour explorer divers courants de la peinture : fauvisme, expressionisme, cubisme, etc. Bref, de beaux projets en perspective et de sympathiques manifestations à noter dans son agenda ! La rançon du succès : les cours d'arts plastiques sont complets ! Mais il peut toujours y avoir des changements à la rentrée, des départs, des déplacements... (il y a une liste d'attente...) Cathy Cousin-Goïc 3

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Vie de nos communes “LA FAVORITE” : POUR UNE RETRAITE PAISIBLE Que de chemin parcouru depuis 1962, l’année où la commune de Cour-Cheverny a acquis la gentilhommière construite en 1850 par M. Lecerf, à l’entrée du village ! L’objectif de la commune était d’y accueillir des personnes âgées. Rapidement, la demeure s’est révélée inadaptée pour recevoir des personnes non valides. En 1968, deux bâtiments ont été construits dans le parc boisé de 4 hectares. Un troisième corps de bâtiment est venu compléter l’ensemble autour d’un patio en 2003. Le 26 janvier 2010, un projet d’extension de la salle à manger a été validé par les instances de contrôle, suite à la demande de permis de construire déposée le 27 novembre 2009. L’organisation des bâtiments a inspiré le logo de “La Favorite”, réalisé en 2002, qui en reprend l’exacte disposition des toits : de couleur rouge, pour symboliser “la force de vie”, entourés de vert pour rappeler le parc environnant, selon Anne-Marie Umark, directrice de “La Favorite” depuis 2001 et qui l’a voulu ainsi. C’est sous la forte impulsion de sa nouvelle directrice, donc, qu’est né en 2001 le projet d’établissement actuel qui visait à obtenir le label Qualité EHPAD* (obtenu en 2004). Une démarche actualisée chaque année qui se présente en 3 parties : - le projet de vie du résident ; - le projet de soins du résident ; - le projet institutionnel ou organisationnel.

de répondre le mieux possible à leurs besoins. Anne-Marie Umark accorde une attention particulière à l’accueil et à l’ambiance pour que chacun puisse trouver sa place en toute sécurité et convivialité. La surveillance médicale est assurée par le médecin traitant choisi par le résident. Le médecin de l’établissement coordonne néanmoins les soins en interne et assure en externe la liaison médicale avec les professionnels de santé et les familles. Maryline Pichot est animatrice à “La Favorite” depuis 2001. Elle organise un ensemble d’activités très diverses : gym douce, jeux de société, de mémoire, groupe de parole, travaux manuels, chorale, karaoké, après-midi dansant, sortie au marché de Cour-Cheverny le mardi après-midi... Sa lecture de “La Nouvelle République” (atelier lecture) est un moment très attendu et l’occasion d’échanges de commentaires entre les participants. L’association “Part’Âge” a été créée par ailleurs pour organiser des manifestations qui créent du lien entre les familles, les résidents et le personnel. Nadine Hermelin, sa présidente, nous annonce l’organisation d’un piquenique le 20 juin 2010 et du marché de Noël le 4 décembre 2010. La Grenouille * EHPAD : Établissement d’Hébergement pour Personnes Âgées Dépendantes.

Renseignements : [email protected] Tél. 02 54 79 97 85 Fax 02 54 79 23 10 Dans le salon-bibliothèque de “La Favorite”, Anne-Marie Umark, directrice de l’établissement (debout) s’intéresse au jeu de ses pensionnaires auquel participe Maryline Pichot, l’animatrice en titre (Tee shirt rayé).

Les objectifs de cette première démarche Qualité ont été couverts. QUELQUES REPÈRES Aujourd’hui, les besoins évoluent vers davantage d’individualisation de la La Favorite est un prise en charge des personnes, tout en restant dans le cadre des moyens établissement public : attribués. Les pensionnaires rentrent en maison de retraite de plus en plus - 68 résidents ; âgés. Devant une évolution de la dépendance au sein de l’établissement, - 87 ans de moyenne d’âge (3 centenaires cette année) ; une réorganisation est devenue nécessaire, en maintenant toutefois le prix www.accueilpersonneagee41.com de journée. Une évaluation interne, qui a été menée en 2008, a servi de - Une centaine de demandes d’admission par an ; (15 % de satisfaites environ). Priorité est donnée si possible aux base à l’élaboration d’un second projet d’établissement assorti d’un plan d’actions à réaliser au cours des 5 années à venir. habitants de Cour-Cheverny et Cheverny ; l’EHPAD* de “La Favorite” est un lieu de vie et de soins qui s’est donné pour - 3 ans et 11 mois de durée moyenne de séjour. mission d’accompagner les personnes âgées dans leur vie quotidienne et

L’ASSOCIATION POUR LA PROTECTION DES SITES DE CHEVERNY, COUR-CHEVERNY ET CELLETTES ORGANISE : ● le dimanche 16 mai 2010 sa balade annuelle en vélo. Le thème portera sur la valorisation de la forêt. Rendez-vous à 9 h. sur le parking de la salle des associations de Cheverny. ● Une exposition de photos sur le thème : “Nos communes hier et aujourd’hui”. Les écoles, le patrimoine bâti et paysagé, les métiers et commerces, la vie des communes... - du 14 au 20 mai, à la Maison des vins de Cheverny ; - du 21 au 23 mai, salle de la mairie de Cour-Cheverny ; - du 29 au 30 mai à Cellettes.

ASSOCIATION POUR LA PROTECTION DES SITES DE CELLETTES, COUR-CHEVERNY ET CHEVERNY

Contact : Daniel Binder - Tél. 06 21 90 67 38 4

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Art de vivre LA MAISON DES VINS DE CHEVERNY Nous avons évoqué la Maison des Vins de Cheverny à plusieurs reprises dans nos précédents numéros de “La Grenouille” et une nouvelle saison commence avec des innovations intéressantes. Nul besoin de rappeler l’importance économique de cette structure crée sous la forme associative par les vignerons locaux qui représentent l’ensemble des vins des AOC Cheverny et Cour-Cheverny (possibilité de déguster plus de 100 références avec un système unique en France). Aussi insisteronsnous cette fois sur le rôle convivial, culturel et artistique de cet espace dont une salle est dédiée notamment aux expositions. C’est la seconde saison de cet “espace culturel” qui complète harmonieusement, par sa décoration et ses activités, la partie du bâtiment consacrée à la dégustation. L’accès aux expositions est libre, comme celui de l’espace dégustation et informations et vous pourrez rencontrer des artistes régionaux de sensibilités très différentes, la place étant en outre réservée aux associations locales à l’occasion de leurs spectacles, animations ou actions diverses.

LES EXPOSITIONS PROGRAMMÉES À LA MAISON DES VINS : ● 2 au 8 avril et 10 au 30 septembre "Claude Francois à Cheverny" par Claude François (37). ● 10 au 11 avril "Marathon de Cheverny." ● 23 au 29 avril : "Les Couleurs de NewYork" et "Reflets". Photographies par Fernand Piaroux (41). ● 7 au 13 mai "Les arts en partage” par l'Association Recréation (92) ● 14 au 20 mai : "Cheverny, Cour-Cheverny, Cellettes hier et aujourd'hui". Photos réunies par l'association pour la protection des sites de Cheverny, Cour-Cheverny, Cellettes. ● 21 au 27 mai “Étienne Magin à Cheverny”, sculptures (41). ● 28 mai au 3 juin : "Il était une fois", peintures par Cornélia Dégremont (41). ● 4 au 9 juin : "Arts en mouvement" par Mme Paput, qui présente les travaux de ses élèves. ● 10 au 13 juin “Le Jazz” par le festival “Jazzin’ Cheverny”. er ● 18 juin au 1 juillet : "Peintures" par Mme Lacagne. ● 2 au 15 juillet : "Pascal Jullien à Cheverny" par Pascal Jullien (45). ● 16 au 22 juillet : "Couleurs d’ici et d’ailleurs". Peintures par Mme Besson. ● 23 au 29 juillet : "Peintures" par Mme Marq.

Cornélia Dégremont, peintre qui habite Cheverny, expose ses oeuvres du 28 mai au 3 juin à la Maison des vins de Cheverny. Une rétrospective sur les thèmes “Il était une fois… au pays des rois, entre imaginaire et féérie du fleuve, en osmose avec la puissance surnaturelle des symboles et des couleurs… La Palette d’Ophélie”. L’oeuvre artistique, pleine de poésie et de fraîcheur de Cornélia s’inspire essentiellement des contes et des châteaux, avec un fond de surnaturel, de magie et de voyance. Elle a notamment redessiné à sa manière les figures du jeu de tarot pour Belline, célèbre mage et voyant qu’elle a rencontré en 1976. Ces cartes ont été exposées par Belline au Musée des Arts et Traditions Populaires de Paris.

En vue

« LA CORDÉE DU VAL DE LOIRE » SE REMET EN SELLE Elles étaient quatre, en 2006, à relier Tours à Chamonix à vélo, elle seront cinq cette année à relier Sancerre à Saint Nazaire, toujours sur leurs vélos : - une courchoise, Sylvie Decrop ; - une chevernoise, Florence Ferquel (la nouvelle) ; - et trois blésoises, Maryse Charté, Françoise Dubois et Martine Galvin. Elles sont membres de l’association “La Cordée du Val de Loire” crée par Maryse Charté. Il s’agit d’une association relais de “À chacun son Everest”, association fondée et animée par le docteur Christine Janin, première femme française à avoir atteint le sommet de l’Everest en 1990. Cette association se consacre à l’accompagnement des enfants malades atteints de cancer ou de leucémie. Leur Everest prend la forme d’un sommet à grimper en groupe. Il se veut comme une sorte de prescription médicale qui les accompagne sur le chemin de leur maladie et de la guérison. Le voyage de nos 5 randonneuses s’effectuera en 12 étapes et empruntera sur envi-

30 juillet au 26 aout : "Rêve de Nature", photos par Philippe Bousseaud (41). ● 3 au 9 septembre : "Lucien Laurence Lafont" par Lucien Laurence Lafont (41). La Maison des Vins est ainsi devenue un espace de convivialité en ayant su marier l’art et le vin qui, nous le savons, s’accordent parfaitement (la vinification est aussi un art !). Afin de vous permettre d’amener vos parents ou amis autant de fois que vous le souhaiterez pour partager une certaine forme de convivialité, une carte “ambassadeur“ a été créée. Cette carte nominative vous sera remise pour l’achat d’un kit de dégustation (6,50 €) et vous ouvrira le droit à 10 dégustations gratuites sur l’année. La Maison des Vins est ouverte jusqu’au 14 novembre 2010, 7 jours sur 7, de 11 h à 13 h 15 et de 14 h 15 à 19 h. Tél. 02 54 79 25 16 Site : http://www.maisondesvinsdecheverny.fr ●

Fernand Piaroux joue avec les couleurs à tout propos : couleurs rassérénantes des éléments naturels ou couleurs artificielles de la ville, avec un regard poétique et malicieux. Ainsi il traque dans la foule grouillante de New-York les aspects insolites que son oeil d’esthète réussit à capturer. Mais point d’harmonie sans volumes et sans lumières, voire sans reflets. Fernand possède l’instinct de la composition de l’image dont il saisit l’instant en un déclic pour traduire une émotion qu’il nous restitue. Si en principe chaque photo se suffit à elle-même, Fernand en combine quelques-unes sous forme de collages pour les faire vivre autrement en un visuel unique tels ceux qu’il vous invite à découvrir à la Maison des vins de Cheverny, du 23 au 29 avril.

ron 700 km. le parcours de “La Loire à vélo”. Le départ sera donné de Sancerre le lundi 19 avril prochain et l’arrivée aura lieu à Saint Nazaire le 1er mai. Deux journées de repos sont prévues pour leur permettre, notamment, de récolter des fonds au profit de l’association “À chacun son Everest” et elle seront donc le samedi 24 avril à Blois, où vous pourrez les rencontrer et les encourager de 11 h 30 à 14 h 30 place des Trois Clefs (rues piétonnes) où Maryse Charté, Florence Ferquel, Françoise Dubois, Martine Galvin, Sylvie Decrop. elles tiendront un stand. Vous pourrez participer, sur le stand, à une tombola avec la possibilité pour ceux qui le désireront de dotée de nombreux lots de valeur, (des commer- les accompagner à vélo jusqu’à Mosnes (37). çants de Cheverny et Cour-Cheverny, ainsi que Départ du parc des expositions en Vienne vers 9 h. le château de Cheverny se sont mobilisés pour Apportez votre pique-nique pour le midi. L’aprèscette opération), et si vous ne pouvez pas vous midi, possibilité d’effectuer un parcours aventure rendre à Blois, vous pourrez acheter des billets au sein du parc Fantasy Forest tout proche. de participation à la tombola au magasin Bravo à ces cinq mères de familles pour leur couPAPOT’& DECO, 22 Bld Carnot à Cour- rage et leur solidarité envers les enfants malades. Cheverny. Le dimanche 25 avril, elles repartiront pour Tours Le Héron 5

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La Grenouille savante DU BÉLIER AU COLOMBIER DU CHÂTEAU DE CHEVERNY Aucun lecteur n’a trouvé la réponse à la question posée dans notre n° 6 concernant l’année d’installation d’un Bélier à Cheverny ! La réponse exacte était : 1858 ! Le bélier hydraulique installé était un modèle Bollée n° 0,1414 - Compte tenu du fait que les établissements Bollée ont été créés en 1842 et que le brevet a été déposé en 1857, il s’agit de l’un des tout premiers béliers Bollée installé en France et le premier en Loir-et-Cher. Un lecteur s’est approché de la bonne réponse en citant l’année 1870, année où des travaux auraient été effectués sur le bélier. “La Grenouille savante” a pu constater par ailleurs que certains ont reconnu un colombier sur la photographie de la tour qui a servi à l‘installation de la citerne du bélier (cf. notre n°6). Leur perspicacité sera donc récompensée puisque La Grenouille savante a décidé de mener une enquête sur ce colombier. LE COLOMBIER Le colombier que nous pouvons encore voir au château de Cheverny a été construit au 16e siècle, (certains précisent qu’il aurait remplacé une “fuie ou fuye” construite antérieurement). C’est en effet à cette époque (et au 17e siècle) que la plupart des colombiers ont été édifiés dans notre région de Sologne. Le terme de “colombier” a été réservé aux constructions importantes abritant un grand nombre de cases (ou boulins) pouvant aller jusqu’à 1 500, voire plus, les constructions plus petites prenant le nom de “fuie”, du nom d’une espèce de petits pigeons appellés “fuyards”. Le colombier de Cheverny est un “colombier à pied” dont la caractéristique est d’être constitué d’une tour de forme ronde (plus

rarement carrée) isolée des habitations et comportant en haut une petite plate-forme et au moins une lucarne à porte de bois. Il y en a deux opposées à Cheverny. La forme ronde facilitait l’accès aux boulins car l’échelle pivotait sur un pivot central (Villesavin possède toujours son échelle qui n’existe plus à Cheverny). Au Moyen-âge, selon madame Tissier de Mallerais, l’élevage des pigeons est devenu progressivement une source de revenu non négligeable et le rôle des pigeons dans l’alimentation fût même considérable. La table royale, en particulier, en faisait une énorme consommation [1] Compte tenu des ravages qu’ils pouvaient causer aux récoltes, les pigeons étaient enfermés pendant la période des semailles et des moissons, mais ces précautions n’étaient pas toujours respectées, ce qui provoquait souvent la colère des agriculteurs. Le droit de construire des colombiers était réglementé et réservé : sur le plan du droit coutumier : Sous l’ancien régime, au Moyen-âge et jusqu’à la révolution, être grand propriétaire se concrétisait par un certain prestige auquel étaient attachés certains droits ou privilèges nobiliaires dont celui de “colombage”.

Le droit de posséder un colombier était exclusivement réservé, en principe, aux seigneurs hauts justiciers (une douzaine seulement en Sologne). L’article 168 de La Coutume du duché d’Orléans stipulait : “Le seigneur haut justicier qui a censives peut avoir colombier à pied ayant boulins jusqu’au rez-de-chaussée, et le seigneur non haut justicier ayant fief, censives [2] et terres labourables en domaine jusqu’à cent arpents [3]… peut avoir colombier à pied ; celui qui a cent arpents de terres labourables peut faire en ses héritages aux champs une volière à pigeons jusqu’à 200 boulins et sans trappe“. (La coutume blésoise réduisait de moitié le chiffre ci-dessus. En ce qui concerne les “roturiers” qui ne possédaient pas de terre, ils pouvaient élever des pigeons à condition qu’ils les enferment dans des volières closes, de façon à ce qu’ils ne causent pas de dommage. Les seigneurs non hauts justiciers (les seigneurs campagnards) devaient donc remplir trois conditions cumulatives. En outre, celui qui possédait plus de cent arpents de terres labourables pouvait avoir plus de boulins à proportion, c’est à dire deux fois autant de boulins que d’arpents. Pour ceux-ci, le droit coutumier se résumait donc à la possibilité d’avoir des pigeons à charge de les nourrir sur leur propriété. Le nombre de boulins permettait aussi de se rendre compte de l’étendue des propriétés au moment de la construction. Voici deux exemples des environs : - Château de la Basme à Couddes 1 700 boulins - Château de Villesavin 1 500 boulins (plus un colombier de 1 000 boulins qui a été détruit). sur le plan juridique : Le droit de colombier était traité comme étant de la même nature que le droit de chasse. Isabelle Guérin, à ce sujet, précise [4] “Dans une certaine mesure, les colombiers pouvaient être considérés comme des garennes fermées ; ils étaient assez rares en Sologne…Toutes ces garennes constituaient un véritable élevage de gibier qui n’allait pas sans causer quelques préjudices aux champs et aux récoltes voisines”. Les juristes de l’ancien régime étaient, eux, divisés sur le point de savoir si le droit de colombage avait réellement le caractère d’une prérogative seigneuriale et aristocratique ou n’était pas, au contraire, une faculté du droit commun appartenant indistinctement à tous les propriétaires fonciers. Le 18e siècle ne verra que peu de constructions de pigeonniers (ce terme a remplacé celui de colombier à la fin du siècle), et c’est à la Révolution, lors de la grande exécution des droits féodaux intervenue dans la nuit du 4 août 1789

Le sommet du colombier est ceinturé d’une corniche appelée “larmier”, légèrement en saillie dans le but d’empêcher l’entrée de certains animaux grimpeurs tels que belettes ou fouines.

que le droit exclusif de fuye et de colombier a été aboli. L’élevage des pigeons étant devenu libre ne possédait plus le même attrait et au cours du 19e siècle, les propriétaires terriens s’attachèrent à mettre leurs terres en valeur ( marnage, plantation de résineux, etc.) ce qui nécessita de gros investissements. Ainsi, seules quelques fuies furent encore construites après la révolution. Alors, chers lecteurs et lectrices, trouverezvous le nombre de boulins contenus dans le colombier de Cheverny ? Prenez votre plume (lettre) ou votre clavier d’ordinateur (mail) et écrivez à La Grenouille – date de la poste ou du mail (heure) faisant foi. Celui ou celle qui s’approchera le plus du nombre de boulins du colombier recevra deux entrées pour le château offertes par monsieur et madame de Vibraye, (avec une visite du colombier, bien sûr). Le Héron Voir l’étude de Pierre Villedieu “Les colombiers de Sologne au cours des siècles”. [1] Connaissance du Monde, n° 114, mai 1968. [2] Fond qu’un seigneur de fief a concédé contre le paiement perpétuel d’un “cens”. [3] Un arpent valait environ un demi hectare (variable selon les régions). [4] La vie rurale en Sologne aux XIVe et XVe siècles par Isabelle Guérin.

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Les enquêtes de la Grenouille COUR TOUJOURS...

Godefroy, dans le sens “ferme, exploitation agricole”, précise que, sous Charlemagne, les courts étaient partagés en deux classes. Les premiers, qui continuèrent à s’appeler court, étaient des manses seigneuriaux isolés. Les seconds, qu’il appelait villa, étaient composés de plusieurs villages où se trouvait ordinairement un château (toutefois, sous Charles II, dit le chauve, le nom de court ne s’appliqua plus qu’aux petites fermes) [3]. Le domaine seigneurial était constitué par l’ensemble des terres d’un grand propriétaire, partagé en manses ou unités de cultures (dont la surface était en principe suffisante pour nourrir une famille) et l’un d’eux, généralement plus vaste était le manse du seigneur, “mansus indominicatus”, dont la culture était assurée par les tenanciers des autres manses sous la direction d’un régisseur. Il pouvait y avoir sur ce territoire la maison du propriétaire, divers ateliers et même une église, propriété seigneuriale dont le seigneur

À nouveau, passant par Chercherelle (cf. ma précédente enquête), je rencontrai mon amie la chèvre et, ne voulant pas être en reste, je lui dit : “Je pense que tu avais raison l’autre jour à propos de l’origine de Cheverny et de Caprinius, mais dis moi, connais-tu l’origine de Cour-Cheverny ?” “facile”, me répondit-elle : “en consultant le blog de la mairie (qui renvoie à Wikipédia) on peut lire : “(l’origine de ce nom)… provient du latin vulgaire curtis, signifiant ferme. Le village aurait ainsi été une importante propriété terrienne rattachée à Cheverny…” C’est vraisemblable, mon amie la chèvre, cour provient bien du bas latin curtis issu du latin classique cohors “coin de ferme”, mais cette seule explication est un peu courte à mon goût. Figure toi qu’en cherchant un peu, j’ai découvert qu’autrefois, le mot cour désignait aussi “tout tribunal” [1]. Louis de La Saussaye précise par ailleurs “…il paraîtrait que Cour n’était Toi qui au premier temps de la féodalité que le siège de bouquine la justice ou cour seigneuriale du grand fief de beaucoup, Cheverny” [2]. Le dictionnaire de l’ancienne langue française (du 9e au 15e s.) de Godefroy, sais-tu comment et le dictionnaire de moyen français DMF (éthy- faire pour passer mologie) nous apprennent aussi que cour avait de la cour de ferme à la plusieurs acceptions au moyen âge : Au 9e s.- en Cour du ancien français - cort signifie “ferme, exploitation Roi ? agricole” et “centre d’exploitation d’un fisc” e e (manse). À la fin du 11 et au début du 12 s. court (curt) prend aussi la signification de “siège de justice” ou “curia d’un prince territorial, surtout dans sa fonction de tribunal”. mais au 10e s. curt ou cort signifie aussi “résidence d’un souverain (ou d’un grand seigneur) et de son entourage”. Par ailleurs, la définition du mot cort dans le

choisissait le desservant [4] Alors ! quelle est la véritable origine du nom de Cour-Cheverny ? Comme souvent, plusieurs possibilités apparaissent et il faut en choisir une : ferme ou cour seigneuriale ? À vrai dire, vous l’avez compris : les deux thèses n’étaient pas incompatibles puisqu’à une certaine époque, (à priori, postérieure au début du 12e s.), il y a certainement eu une juridiction seigneuriale à Cour, et Louis de La Saussaye ne se trompait vraisemblablement pas. L’origine est de toute façon commune aux deux significations de curtis/cort, mais, chronologiquement le sens privilégié de cette origine est bien celui de la ferme, exploitation agricole ou manse dès avant le 10e s. (manse seigneurial ou non), puisque nous connaissons l’existence de Cheverny dès le 6e s. et que la première citation connue de Cour-Cheverny date de 1145 (mention de l’église dépendant de l’abbaye de Bourgmoyen, diocèse de Chartres). “Mais, je suis déjà trop long et je suis obligée de te quitter mon Mêêêh, c’est amie la chèvre ; je reviendrai pour te conter la facile pour une suite à propos des différentes significations du grenouille : d’après un mot “cour”, notamment au Moyen-âge et, plus “book”* que je connais, tu particulièrement, à partir du 16e s. avec la Cour te fais embrasser par un des rois de France. À cette occasion je te parleprince, qui te transforme rai du poète Ronsard et de ses liens avec Couralors automatiquement en Cheverny et avec le Chancelier Philippe Hurault belle princesse, et le de Vibraye, Comte de Cheverny.” Tout au long de tour est joué ! l'Histoire, le village a porté d'autres noms, comme Cour, Courchiverny, Cour-en-Sologne et Courlès-Cheverny (lès signifie près de...). [5] Le Héron À suivre..

Mémoire UN PARFUM DE GUERRE CIVILE BLOIS LE 6 JUIN 1793 Une troupe infernale arrive ce 6 juin 1793 pour prendre aux Jacobins le Comité révolutionnaire. Le président en était un nommé Velu qui, après avoir copieusement arrosé les délibérations avec ses amis, sort un poignard, invite ses acolytes à l’imiter et se met en quête de vouloir purger la ville des aristocrates et surtout ceux qui sont à la mairie pour prendre leur place. Le maire et le procureur ne se laissèrent pas intimider et réussirent à chasser cette bande d’ivrognes qui avaient pour seul but d’inspirer la terreur à tout prix ! Le Grand vicaire du séminaire, Rochejean et l’abbé Duliepvre n’étaient pas en reste et formèrent une troupe de vandales qui foncèrent sur l’Hôtel de ville, taillèrent en petits morceaux les tapisseries des Gobelins offertes par le Roi à la ville, chacun en emportant un petit fragment. Le pillage et la dévastation allaient bon train, chacun trouvant de bonnes raisons pour casser, détruire, voler, dénoncer et s’accaparer le bien d’autrui. M. Pobelle, subalterne des Ponts-et-Chaussées décida un beau matin de faire disparaître sur l’ensemble du territoire les signes féodaux et les fleurs de lys. Ils commencèrent par détruire la statue de Louis XII à la porte du château à coups de marteau. Ils firent de même pour l’obélisque sur le pont construit par Louis XII, etc. Les réquisitions se succédèrent. On prend les chevaux, le fourrage, le blé, les chemises, les souliers, les habits... et en trois semaines, les habitants sont dépouillés du superflu... mais surtout du nécessaire. Cependant, tout le monde

[1] Le Prégorier - [2] Louis de la Saussaye : Journal du Blésois et de la Sologne - [3] Corblet ouvrage cité dans le dictionnaire de l’Ancien français de Godefroy - [4] Françoise Moyen - art. dans l’Encyclopédia Universalis - [5] Jean Marie Cassagne : Origine des noms de villes et villages. * Notre chèvre est parfaitement bilingue !

obéit, tellement la peur est installée dans la population. Seuls les jacobins ne donnent rien mais en plus, profitent grassement des réquisitions. Le Comte Dufort de Cheverny avait la gouvernance de Romorantin pour son fils aîné. Cheverny se trouvant sur le passage pour aller à Blois, le château devint donc l’auberge pour tous les volontaires qui remontaient vers Blois en criant “vive la République” ! Le Comte Dufort s’était exclamé : “C’étaient des enfants, presque sortant du berceau et que je regardais comme voués à une mort certaine. Ma prédiction s’est vérifiée puisqu’il n’en est pas revenu un seul”. Les gens sensés comprirent alors que la guerre civile était proche. Une insurrection avait pris naissance à Montmirail dans la Sarthe parmi les ouvriers des verreries. Elle était commandée par 2 députés qui s’apprêtaient à marcher sur Vendôme et Orléans pour terminer à Paris. Ils emmenèrent tous les hommes avec eux et se dirigèrent sur Blois. En quelques heures, la ville fût submergée comme par une nuée de sauterelles ! Tous les sans-culottes s’en mêlèrent et le département, le district et les municipalités environnantes se mirent en marche forcée vers Beaugency. Les plus sensés profitèrent de la nuit pour s’échapper de cette cohue humaine et retourner se coucher. On détacha toute la Garde Nationale en récupérant celle des bourgs et des villes traversées avec six canons que l’on plaça avec la troupe à l’entrée de Beaugency pour faire face aux insurgés qui se reposaient à Mer avant le combat (qui n’eût pas lieu). On parlementa, on se harangua, mais chacun regagna sa maison, triste et harassé de

fatigue. À l’exaction de M. le vicaire Rochejean qui s’était arrêté avec ses sociétaires au château de Menars, dont le propriétaire de l’époque était M. Poisson de Malvoisin, héritier de Madame de Pompadour, ils mirent trois heures à tout saccager et à mettre en pièces la statue de Louis XV en marbre blanc, dans sa coupole, devant l’esplanade. L’évêque de Blois de l’époque, Grégoire, répétait à qui voulait l’entendre la nécessité du jugement du roi et de sa mort avec les aristocrates, les riches et les autorités anciennes. Il se promenait dans son habit d’évêque constitutionnel : chapeau rond, cocarde nationale, redingote, veste rouge, culotte noire et bottines. Il s’enfuit avec ses gens dès le début des hostilités. Certains esprits étaient de plus en plus inquiets. Une fois le procès du roi entamé, le Comte Dufort, comme tous ses amis, qu’il définissait comme d’honnêtes gens de province, se berçait de l’illusion que Louis XVI serait innocenté. À la nouvelle de l’exécution du roi, Dufort fut très affecté et tourmenté de la suite des évènements car le moindre mouvement de lui-même ou de ses amis aurait valu une dénonciation. Cependant, la République fut proclamée à Cour et à Cheverny comme ailleurs, ce qui provoqua une accalmie. Les nombreux partis se mirent en œuvre pour entrer en lice et partager le pouvoir. Le bon peuple, confiant, crut que la République proclamée était établie… Espoir, quand tu nous tiens !.. Le Col Vert À suivre... Sources : - “Les Chanceliers de Cheverny”, par le comte Henri de Vibraye, éditions Émile Hazan - “Mémoires du Comte Dufort de Cheverny : La Révolution”, éditions Plon, 1909.

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Nature LANGUE DE BOIS “La Grenouille”, toujours curieuse, est allée interwiever quelques-uns des vieux chênes remarquables du bois des Ogonnières : ceux qu’on appelle “Les Trognes*”. Écoutons-les... “Nous sommes bi ou tricentenaires (parfois plus) au bord d’une mare ou d’une allée. Les vieux chênes encore debout revoient leur passé où tous les ans, suivant les rigueurs des saisons, l’homme coupait ses nouvelles branches à deux ou trois mètres du sol. Ces branches feuillues servaient l’été comme fourrage pour les animaux des petites fermes. L’hiver, celles qui étaient épargnées l’été, servaient de fagots pour le feu. Il faut imaginer (pour ceux qui viendront nous voir) que la forêt n’existait pas autour de nous. La régression de la forêt originelle, suite à l’augmentation démographique, est la raison de vie des trognes. Grâce à ces coupes aériennes, l’homme maîtrisait Une trogne de 5,10 m. de tour de taille. l’appétit des herbivores domestiques ou sauvages. Les trognes disparaissent doucement par manque d’entretien, absorbées par la puissance de la forêt qui les entoure. Ce patrimoine végétal où les fermes en bois, les cochons dans la boue et Vous connaissez tous le parc du château de les petites cultures vivaient autour de ses racines, s’oublie doucement !” Cheverny, mais savez-vous que, derrière les limites du gazon, existe un parc forestier où, depuis Laurent Ravineau 1830/1850 poussent des essences de conifères venues des 4 coins du monde ? Les promeneurs du * Les Trognes se trouvent dans le bois des Ogonnières, sur la commune de Cour-Cheverny. Pour vous y rendre, le mieux est de prendre l'ancien chemin vc 114 de Cour-Cheverny à dimanche pourront s’ils le désirent, le 23 mai à 9 h, Fontaines-en-Sologne (par le carrefour de la Croix aux Morts et les Chatains...) puis après retrouver les amis de La Grenouille. Rendez-vous les Chatains, tout droit pendant environ 1,5 km. jusqu'au croisement avec le chemin des boeufs au camping municipal de Cour-Cheverny. (GR de châteaux en châteaux en L & C). À ce carrefour, (La Durandière), prenez à gauche : “Histoire & Découverte“ et “Oxygène” vous les trognes sont visibles du bord du chemin à 50 m. environ sur votre droite. emmèneront sur un parcours commenté où vous retrouverez les feuillages du printemps. N’hésitez pas à découper le bulletin d’adhésion en suivant BULLETIN D’ADHÉSION 2010 les pointillés, vous à l’association Oxygène Cheverny recevrez en retour un exemplaire tout Nom ........................................................... neuf de “La Grenouille” avec votre carte Prénom....................................................... d’adhérent. Adresse......................................................

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..................................................................... Je m’y suis repris à plusieurs fois, mais ils ont besoin de nous, alors j’ai fait un effort !

Téléphone : ...............................................

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T’as réussi, toi, à découper le bulletin d’adhésion à l’association “Oxygène” en suivant de près les pointillés ?

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❒ 15 € Une personne ❒ 20 € Couple ❒ ............ € Adhésion de soutien

Réglement par chèque à l’ordre de : “ASSOCIATION OXYGÈNE CHEVERNY” à adresser : 4, Chemin de Launay - 41700 - Cheverny.

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VOIX DE CHEVERNY & COUR-CHEVERNY

Trimestriel - N° 7 - Avril 2010 Directeur de Publication : Jean-Pierre Terrien Tél. 06 07 14 56 24 - [email protected] Rédacteurs ; Fernand Piaroux, Jean-Pierre Terrien, Cathy Cousin-Goïc, Patrice Duceau, Laurent Ravineau. Impression : imprimerie Médi 6 - Vineuil Dépôt légal : date de parution.

L E S PA R T E N A I R E S D E L A G R E N O U I L L E Édition : “Oxygène Cheverny” Association loi 1901 - 4, Chemin de Launay - 41700 - Cheverny

8 “La Grenouille” est distribuée gratuitement dans les boîtes à lettres de Cheverny et Cour-Cheverny, et adressée par courrier à nos adhérents d’autres communes