VIEILLE Jules 1814-1896

Jules Marie Louis VIEILLE naît le 23 décembre 1814 à Besançon. Il meurt le 5 août 1896 à Paris (8e). En son domicile, 9 rue de la Trémoille.

Fils de Jean Jacques VIEILLE et de Marie Angélique Victoire Sophie TUPIGNY. Le père est né le 3 octobre 1773 à Besançon. Avocat et conservateur des hypothèques. Propriétaire en 1833. Décédé le 27 janvier 1840 à Besançon. La mère est née le 16 avril 1781 à Caen. Décédée le 26 juillet 1843 à Paris. Ils se sont mariés le 3 août 1803 à Besançon.

Cinq frères et une soeur. 1. Paul Louis Marie Alexandre, né le 11 messidor an 12 (30 juin 1804) à Besançon. 2. Étienne Marie Théodore, né le 2 février 1806 à Besançon. Premier commis de la direction des douanes de Nantua (Ain) en 1849. Receveur principal des douanes lorsqu’il prend sa retraite. Décédé le 14 mai 1882 à Neuilly-sur-Seine. 3. Joseph Maximilien Émile, né le 21 janvier 1807 à Besançon. Décédé le 28 juillet 1808 à Besançon. 4. Marie Baptiste Clémence Pauline, née le 25 janvier 1809 à Besançon. Décédée le 27 janvier 1809 à Besançon. 5. Antoine Marie Baptiste Émilien, né le 10 décembre 1812 à Besançon. Capitaine des douanes. Vivant en 1869. 6. Jules Marie Louis. 7. Étienne Marie Victor, né le 2 août 1821 à Besançon. X 1841 (entré 13e, sorti 53e), génie. Capitaine d’état-major du génie (1849). Retraite comme lieutenant-colonel. Décédé le 17 août 1914 à Neuilly-surSeine. Légion d’honneur (officier 1869).

Mariage avec Angèle Françoise Antoinette GUÉNOT le 28 août 1849 à Vesoul (Haute-Saône). L’épouse est née le 14 novembre 1826 à Vesoul. Fille de Jean Charles Marie Joseph GUÉNOT et de Sophie GALMICHE, 28 ans. Décédée le 11 août 1912 à Toulon. Le père est né le 31 mars 1787 à Vesoul, où son père est avocat au Parlement. Capitaine de 1ère classe au 3e régiment du génie en 1826. Major du génie en retraite en 1849. Chevalier de l’ordre royal et militaire de Saint-Louis et de l’ordre royal de Saint Ferdinand (Espagne). Légion d’honneur (chevalier 1811, officier). Décédé le 1er septembre 1862. La mère a 28 ans en 1826. Vivante en 1849.

Sept enfants. 1. Cécile Marie Sophie Victoire, née le 9 septembre 1850 à Paris. Célibataire. Décédée le 20 janvier 1870 à Aix (Bouches-du-Rhône). 2. Julie Marie Charlotte Constance, née le 20 février 1852 à Paris. Décédée le 2 février 1854 à Paris. 3. Marie Paul Jean Émilien, née le 24 juin 1853 à Vesoul. Décédée le 13 mars 1854 à Paris. 4. Paul Marie Eugène, né le 2 septembre 1854 à Paris. Épouse Élisa Fanny Auvray le 25 octobre 1880 à Paris (8e) ; elle est née le 10 août 1857 à La Meauffe (Manche). Quatre filles et un fils. Décédé le 15 janvier 1934 à Paris (7e). Spéciales au collège Rollin (classe de Suchet). X 1873 (entré 103e, sorti 28e), Poudres. Répétiteur, professeur de physique et examinateur à l’X (1882-1902 et 1904-1914). Ingénieur général des poudres et directeur du Laboratoire central des poudres et salpêtres à Paris. (1904). Inventeur de la poudre sans fumée. Académie des sciences, section de mécanique. Grand-croix de la légion d’honneur. Le fils est Henri Marie Maxime, né en 1892 à Buire-aux-Bois (Pas-deCalais). X 1912 (26e), sorti 29e), Génie maritime. Ingénieur général du génie maritime. Décédé en 1978 à La Meauffe (Manche). 5. Henriette Marie Eulalie Caroline, née le 30 juillet 1856 à Paris. Décédée en 1935 (pas à Paris).   6. Marie Caroline Hippolyte, née le 25 octobre 1859 à Paris. Épouse Paul Vieille François Alphonse Bottard le 24 octobre 1892 à Paris (8e) ; il est né le 4 octobre 1850 à Saint-Paul (La Réunion) et est médecin. 7. Charles Marie François, né le 11 avril 1862 à Paris (6e). X 1882 (23e, sorti 8e). Ingénieur des Ponts et Chaussées. Épouse Marie Charlotte Moreau le 3 mars 1890 à Paris (6e). L’épouse est née le 18 mai 1867 à Paris (6e) ; décédée le 31 décembre 1952 à Paris (6e). Un fils et deux filles. Décédé le 14 octobre 1938 à Lagny-sur-Marne.

Roland Brasseur – Dictionnaire des professeurs de mathématiques en classe de mathématiques spéciales – 7 août 2016

Le fils est Paul Marie Jules, né le 20 avril 1893 à Dunkerque. Agrégé de philosophie 1919 (7e sur 11). Professeur. Décédé le 7 décembre 1944 au camp de Buchenwald.

Élève de spéciales au collège royal de Besançon de 1830 à 1833. Classe de Delly. Pendant une ou deux de ces 3 années, le cours de spéciales est fait par le professeur de math élém, Isidore Bouché (ENS 1826). Non candidat à l’ENS en 1831. Candidat « avec distinction » (selon le dossier de 1833) en 1832.

Admis à l’ENS en 1833 (1er sur 9). Les 7 premiers à bourse entière, les 2 autres à demi bourse. Le 8e n’entre pas. Trois de ces 9 viennent du collège de Besançon : Vieille 1er, Schmitt 4e, Hauser 7e. Tous trois enseigneront en spéciales. Par ailleurs, Jean jano

Agrégé pour les classes des sciences en 1836 (2e sur 8). Docteur ès sciences mathématiques le 2 septembre 1840 à Paris. Astronomie : Du mouvement de la lune autour de son centre de gravité. Mécanique : De la variation des constantes arbitraires dans les questions de mécanique. Composition du jury non mentionnée. Dédicace. « A MONSIEUR POUILLET / Membre de l’Institut Témoignage de ma vive reconnaissance / pour / Sa bienveillance et son amitié. J. Vieille. »

Agrégé pour les sciences mathématiques près les facultés des sciences en 1840. Une ordonnance du 28 mars 1840 crée trois sortes d’agrégés près les facultés des sciences, recrutés par trois concours distincts. : pour les sciences mathématiques, pour les sciences physiques, pour les sciences naturelles. Les candidats au concours de maths (resp. physique) doivent posséder les trois licences scientifiques (en fait, pour l’unique concours organisé, seule une licence sera exigée) et être docteurs ès sciences mathématiques (resp. physiques). Les agrégés « auront le droit exclusif de suppléer les professeurs titulaires. Seuls aussi ils pourront être chargés, en cas de vacance d’une chaire, de faire le cours provisoirement […] » Les agrégations près les facultés des lettres avaient été créées par une ordonnance du 24 mars. Des arrêtés du 7 avril et du 15 mai 1840 fixent les modalités du concours, ouvert à Paris. Pour les maths, 3 places sont mises au concours : une pour Paris, 2 pour les facultés des départements. Les candidats doivent avoir 25 ans. Deux candidats se présentent en 1840 pour les maths : Joseph Bertrand et Jules Vieille. Bertrand, docteur ès sciences (1838), élève à l’X (entré en 1839) et âgé de 18 ans, obtient une dispense d’âge. Vieille est reçu 1er et Bertrand 2e. Bertrand avait été 1er dans toutes les épreuves sauf celle des leçons publiques. Le jury est présidé par Poinsot. Le concours ne sera plus organisé ensuite. L’agrégation pour les facultés des sciences connaîtra des avatars divers, en 1847, 1855 et 1874. Marcellin Berthelot, discours de réception à l’Académie française, 1901 : « La Sorbonne était hostile à ce nouveau grade […] En fait il fut entendu, ou plutôt sous-entendu, entre les professeurs de l’époque, que les nouveaux agrégés ne seraient jamais choisis par eux comme remplaçants ou suppléants. Au lieu d’ouvrir aux jeunes triomphateurs la carrière, leur titre la ferma : ce fut sans doute l’une des raisons pour lesquelles J. Bertrand devint plus tard professeur au Collège de France, mais jamais à la Faculté des Sciences. »

Carrière. Élève de l’ENS. Professeur de math élém au collège royal de Caen. Professeur de math élém au collège royal de Metz.

02-11-1833 30-09-1836 10-10-1837

En 38-39, il fait le cours de math spé à la place du titulaire Girod qui prend les maths élém (alternat). IG (1939) : « Il a éprouvé quelques difficultés pour obtenir cette espèce de faveur ; mais il a insisté et l’Inspection générale ne croit pas que la classe y ait perdu. »

Professeur de math spé au collège royal de Toulouse.

25-09-1839

il succède à Murailhe selon l’arrêté de nomination, en fait à Mondot (ENS 1934) qui l’avait remplacé (suppléé ?) en 38-39. Seulement 5 élèves, une classe faible. Le ministre s’interroge : concurrence du privé ? En outre, chargé de la chaire de maths appliquées à la faculté des sciences.

Professeur de maths à la faculté des sciences de Rennes. Professeur divisionnaire de maths au collège Louis-le-Grand. Chargé de la 2e division de math spé au collège Louis-le-Grand.

30-10-1840 15-09-1841 12-10-1844

Richard a la 1ère division jusqu’en 1948.

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Très apprécié par les IG depuis ses débuts à Caen, Vieille l’est aussi par les directeurs d’institutions, en particulier Sainte-Barbe, qui exigent dès 1845 que leurs élèves soient inscrits dans sa classe plutôt que dans celle de Richard, au cours trop élevé.

Professeur divisionnaire chargé de ladite classe au collège Louis-le-Grand.

30-12-1845

Les mathématiques spéciales sont rebaptisées mathématiques supérieures de 1847 à 1852. En 44-45, Richard avait 93 élèves. En 45-46, il n’en a plus que 28, tandis que Vieille en a 96 élèves, dont seulement 3 internes. Vieille a 90 élèves en 46-47, puis entre 65 et 90 64 en 47-48 IG, 1846 : « Nous ne pouvons nous empêcher de penser qu’avec deux professeurs aussi distingués par leur mérite, il y ait encombrement dans l’une des classes, et pénurie dans l’autre. » Par un arrêté du 8 mars 1848, le gouvernement provisoire crée une école d’administration, « sur des bases analogues à celles de l’école polytechnique ». Les élèves de la première promotion, recrutés par concours, rentrent en juillet pour suivre pendant 3 mois des cours au Collège de France. Vieille fait la rentrée 1848 au lycée, avec l’intention de démissionner dès que les cours de cette école, où il doit être nommé professeur, commenceront. Une longue absence pour faire passer des examens (ou enseigner ?) dans cette école, une absence pour maladie et une nouvelle absence d’un mois à l’occasion de son mariage mécontentent les élèves et Sainte-Barbe qui cesse de lui envoyer ses élèves. Une loi du 9 août 1849 supprimera l’école d’administration. En 48-49, Vieille a la 1ère division de sup, et Lecaplain la 2e. De 49 à 51, Vielle est chargé de la 2e division de sup, et Guibert de la 1ère ; Vieille est suppléé par Lecaplain pendant une grande parie de l’année 49-50. La 2e division de sup de L-G est supprimée le 26-09-51 ; Guibert est chargé de la division unique. En juin 1852, Vieille remplace Catalan (révoqué) dans la 1ère division de sup à Saint-Louis ; Catalan suppléait Vincent et Delisle, en congés en 50-51 et remplacés alors par Catalan. En 52-53, Vieille n’enseigne pas en lycée ; il n’y a toujours qu’une seule spé à L-G, où Lecaplain supplée Guibert.

Professeur titulaire de math spé au collège Louis-le-Grand.

31-08-1853

Il succède donc à Guibert, que Lecaplain avait suppléé en 52-53. Effectif : 41 en 53-54, 53 (dont 32 de Ste-Barbe et 12 internes) en 54-55, 52 (37 vétérans dont 32 Ste-Barbe et 2 internes, 15 nouveaux dont 13 internes et 0 Ste-Barbe) en 55-56, 50 en 56-57 Dans les 6 premiers à l’X. 1848 : Hubert 1er. 1849 : Collignon 1er. 1852 (Saint-Louis) : Marin 1er. 1854 : Gervais 3e, Flye-Sainte-Marie 5e. Mussy 6e. Dans les 6 premiers à l’X. 1848 : Dupain 2e (2e entrant). 1854 : Ziégel 2e (2e entrant derrière Méray). 1856 : Morisot 4e (3e entrant). 1856 : Philippe 4e (entre 12e à l’X). Concours général. 1845 : Le Bouédec 1er accessit, Houbigant 2e accessit, Lesguillier 5e accessit. 1846 : Foulard 5e accessit. 1848 : 1848 : Collignon 2e prix, Letixerant 2e accessit. 1852 (St-Louis) : Marin 2e accessit, Salin 3e accessit, Lasserre 8e accessit. 1854 : Le Bas 4e accessit. 1855 : Maillot 1er accessit. 1856 : Maurice Lévy 1er accessit, Chigot 3e accessit, Th. Lévy 7e accessit. 1857 : Godart 1er prix, Derendinger 2e prix, Faure-Biguet 3e accessit, Lecarlier 5e accessit. 1858 : Benard 1er prix, Jozon 1er accessit, Courtois 4e accessit, Chatel 5e accessit.

Inspecteur de l’Académie de Paris. Inspecteur général de l’enseignement secondaire. Recteur de l’académie d’Aix. Recteur de l’académie de Dijon.

25-08-1858 12-02-1862 11-09-1867 03-10-1873

La loi du 12 juillet 1875 autorise la création d’établissements d’enseignement supérieur privé. Le 18 novembre, dans son discours à l’occasion de la distribution des prix aux étudiants (droit et pharmacie) de Dijon, le recteur Vieille exprime, aussi clairement que ses fonctions le permettent, ses réserves. Dans une lettre du 24 novembre au ministre, le préfet de la Côte d’Or dénonce ces propos.

En outre, maître de conférences à l’ENS par arrêté du 14-03-1845. Il succède à Abailard Lévy, qu’il suppléait depuis 1841. Il exerce cette fonction jusqu’en 1858.

« Admis sur sa demande à faire valoir ses droits à une pension de retraite pour cause d’infirmités » à partir du 7 décembre 1880 (décret du 27 novembre). Vieille avait souhaité sa mise à la retraite parce que « des raisons impérieuses de famille » lui imposaient de résider à Paris. L’IG d’Almeida meurt le 8 novembre 1880. Revenant sur sa demande, Vieille demande le 12 à lui succéder, et, au cas où le poste serait déjà pourvu, sa mise à la retraite. Ancienneté : 47 ans, 2 mois et 6 jours. Sa pension de retraite est égale au maximum légal de 6000 francs. À sa mort, sa veuve touche le tiers réversible, 2000 francs.

Membre associé de l’Académie des sciences, belles-lettres et arts de Besançon. Élu en août 1853.

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Publications. Thèses d’astronomie et de mécanique, Toulouse, 1840, 81 p. La thèse d’astronomie, p.3-72. Résumé de la thèse de mécanique, p.73-80.

Cours complémentaire d’analyse et de mécanique rationnelle, professé à l’EN, Bachelier, 1851, 400 p. Théorie générale des approximations numériques, Bachelier, 1852, 100 p. Nouvelle éd., revue, corrigée et augmentée, à l’usage des candidats aux écoles du gouvernement », Mallet-Bachelier, 1854, 200 p.

Éléments de mécanique, à l’usage des lycées, Gauthier-Villars, 1866, 256 p. Comptes-rendus des séances de l’Académie des sciences. « Note sur la théorie de la précession des équinoxes, et sur le mouvement des nœuds de l’équateur lunaire », t.13, 1841-2 (9 août), p.354-358. « Détermination de la fonction symétrique […] qu’on obtient en divisant les puissances semblables des racines d’une équation f(x) = 0 par les valeurs correspondantes de la dérivée f’(x) », t.44, 1857-1 (29 juin), p.1311-1315. Bertrand attribue la paternité de cette idée à Cauchy, t.45, 1857-2 (6 juillet), p.1-2. Réponse de Violle, t.45, 1857-2 (13 juillet), p.53-54. « Note sur la décomposition des fractions rationnelles », t.49, 1859-2 (14 novembre), p.746-749.

Journal de mathématiques pures et appliquées (Journal de Liouville). « Note relative à l’instabilité de l’équilibre d’un système de points matériels », 1e série, t.X, 1845, p.329-336. « Sur les ED de la mécanique, réduites au plus petit nombre possible de variables », 1e série, t.XIV, 1849, p.201-224 « Remarques sur la théorie des lignes de courbure […] », 1e série, t.XX, 1855, p.121-132.

Nouvelles Annales de mathématiques. « Sur l'équation différentielle de la page 396 », série 1, t.5, 1846, p.509-510. « Théorème d'Apollonius » (extrait d'une lettre), série 1, t.5, 1846, p.637-640. « Note sur un point de la théorie générale des équations », série 1, t.6, 1847, p.174-176. « Solution du problème de géométrie analytique proposé au concours général de 1849 », série 1, t.8, 1849, p.317-326. « Sur les résultats de la substitution d'une suite de nombres équidistants dans une fonction entière d'une seule variable. Application à la séparation des racines d'une équation du troisième degré. Formules d'interpolation », série 1, t.10, 1851, p.48-71. « Sur la question de mathématiques spéciales qui avait été proposée au dernier concours », série 1, t.14, 1855 p.28-29. « Solution d'un problème sur le triangle rectiligne », série 1, t.14, 1855, p.162-168. « Sur la construction des racines de l'équation du quatrième degré par l'intersection d'une parabole et d'un cercle », série 1, t.16, 1857, p.453-456. « Note sur une forme de l'équation du second degré à deux variables propre à la résolution de diverses questions concernant les coniques tangentes à plusieurs droites données », série 1, t.20, 1861, p.236-242 Extrait d'une lettre (sur une question de mécanique), série 2, t.1, 1862, p.247-248.

Nécrologies normaliennes d’André Bourgeois (1894), François Desains (1866) et Simon Hauser (1885). André Bourgeois, 1813-1893. ENS 1833. Chargé de cours de maths au lycée de Nantes. François Desains, 1812-1865. ENS 1831. Professeur de physique (spéciales) au lycée Henri IV. Simon Hauser, 1813-1884, ENS 1833. Professeur de math spé au lycée Charlemagne.

Sources. Dossier de carrière, F/17/21857/A, aux Archives nationales. Nécrologie normalienne par Charles Ribout, 1897. Charles Ribout, 1832-1916, ENS 1853. Professeur de mathématiques spéciales.

« Notice sur M. Jules Vieille, associé correspondant franc-comtois, par M. le vicaire général de Beauséjour ». Académie des sciences, belles-lettres et arts de Besançon, Procès-verbaux et mémoires, 1997, p.XXVII-XXXII. Dossier Légion d’honneur (chevalier 25-04-1847, officier 12-08-1864), non accessible aux Archives nationales. « VIEILLE Jules Marie Louis », in Jean-François Condette, Les recteurs d’académie en France de 1898 à 1940, tome II dict. biographique, INRP, 2006, p.638-639. Havelange, Huguet et Lebedeff, Les inspecteurs généraux de l’Instruction publique, dictionnaire biographique 1802-1914, INRP-CNRS, 1986, p.175-176.

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